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Drague de rue : le port du masque risque-t-il de devenir un problème ?

Publié le 13 août 2020 par Chrisandflow

Ces derniers temps, la crise du coronavirus a installé quelques changements auxquels nous devons nous adapter pour continuer à rencontrer des femmes dans l’espace public.

L’un des principaux, c’est le port du masque, de plus en plus courant et en passe de devenir obligatoire dans les grandes villes.

Ce changement ne va peut-être pas durer. Mais mon petit doigt me dit qu’il vaut mieux partir du principe qu’aborder des filles qui portent un masque va devenir Must Do.

Bien que la psychose soit passée, le pouvoir exécutif ne semble pas prêt à lâcher l’affaire. Comme pour les féministes avec le harcèlement de rue, ça leur donne un bon prétexte pour faire croire qu’ils sont encore utiles à quelque chose… Et accessoirement, renflouer un peu les caisses en verbalisant les indisciplinés (enfin… ceux solvables).

De plus :

  1. Comme beaucoup d’autres maladies respiratoires, la covid-19 peut réapparaitre (pour de vrai) en automne.
  2. On n’est pas à l’abri d’un nouveau virus…

Et quelque chose me dit que, si on a complètement paniqué pour un virus relativement peu dangereux en réalité, il y a de bonnes chances qu’on panique aussi si un nouveau virus se met à circuler.

Finalement, je pense que c’est surtout le terme « nouveau virus » qui fait peur, plutôt que la dangerosité réelle.

Le tabac et l’obésité tuent 2 fois plus chaque année, et ce depuis des années. Pourtant les Marlboro et les Big Mac sont en vente libre… Allez comprendre !?

Même la canicule s’avère finalement presque aussi dangereuse certains étés. Mais comme ce n’est pas un virus inconnu, c’est moins sexy pour les médias.

Ça fait moins travailler l’imagination, ça suscite moins la peur.

Quoi qu’il en soit, je vous déconseille d’attendre que les masques disparaissent définitivement pour vous (re)mettre à faire des approches dehors. Vous risqueriez d’attendre longtemps…

Mon intuition me dit qu’on en a pour un bon moment.

Le masque : un obstacle imaginaire

Je dois avouer que, les quelques premières fois où j’ai abordé les filles qui portaient un masque, j’étais inquiet des réactions.

En même temps le contexte était différent. Nous étions en mai, le confinement venait à peine d’être suspendu.

Ce n’était pas tant le port du masque qui m’inquiétait en soi. Mais à quel point les filles auraient peur du contact social à cause de ce satané virus.

Et j’ai subodoré que les filles qui portaient le masque en pleine rue (sans que ce soit obligatoire à ce moment-là) devaient avoir très peur d’être infectées. Alors elles réagiraient peut-être mal, ou tout du moins resteraient distantes et craintives, si je les abordais.

En plus cette inquiétude, d’autres questions me taraudaient l’esprit.

Allais-je paraître aussi crédible que d’habitude ? Comment allaient réagir les filles si je les abordais sans avoir vraiment vu leur visage ? Est-ce que ça n’allait pas discréditer mon approche ?

Finalement, plutôt que de faire mille et une suppositions (le truc de KJ), j’ai fait ce que je savais le mieux faire : vérifier sur le terrain. Et après quelques approches j’ai été rassuré.

Je n’ai pas vu de différence significative entre les filles masquées et non masquées.

Complimenter sur le style, après être arrivé calmement et poliment, rend l’approche tout à fait crédible.

À certaines occasions, j’ajoutais que la curiosité de pouvoir associer un visage avec ce style avait été une source de motivation supplémentaire.

En bref, avec ou sans masque, les filles restent tout à fait abordables.

Le masque, c’est comme les écouteurs dans les oreilles…

Pas mal d’hommes renoncent à aborder des filles qui écoutent de la musique, alors que ça ne conditionne pas leur réaction.

Ça leur donne à ces mecs une bonne excuse pour ne pas avoir à affronter leur peur de l’approche.

Le port du masque fournit également une bonne excuse.

Grâce à lui, les mecs peuvent renoncer à un tas d’occasions sans se sentir coupables de ne pas avoir eu le courage d’agir.

Tant pis pour eux !

Parmi ces filles, il y en avait un peut-être une (ou plusieurs) qui aurait été ravie de les rencontrer.

Le port du masque : inconvénient et… avantages

On a souvent tendance à voir les inconvénients (supposés ou réels) en premier.

À titre personnel, je trouve que le seul véritable inconvénient du masque, c’est qu’il nous empêche de voir le visage des filles.

Il y a quelques approches que je n’aurais pas faites si la fille n’avait pas porté de masque.

Il y a environ 1 mois par exemple, j’ai abordé une gamine de 15 ans… Je me suis senti un peu idiot sur l’instant.

(M’enfin, en drague il faut aussi s’habituer aux petits moments de malaise. Eux aussi sont inévitables !)

J’ai aussi abordé quelques filles qui n’étaient finalement pas à mon goût.

Honnêtement, c’est le seul véritable inconvénient : le masque nous force à aborder un peu à l’aveuglette.

Mais à force de m’y habituer, j’ai commencé à y trouver quelques avantages.

Par exemple, le tout premier avantage que j’ai remarqué, c’est que certaines filles (non masquées dans la rue) s’arrêtaient devant les magasins pour enfiler leur masque avant de rentrer.

Ça laisse une bonne dizaine de secondes supplémentaires pour les aborder avant qu’elles n’entrent.

Ceux qui ont déjà raté des opportunités, parce que la fille qu’ils avaient dans le viseur est entrée dans un magasin, savent à quel point ça peut être frustrant.

Le fait d’avoir une dizaine de secondes supplémentaires est un sacré plus !

Aussi, j’ai remarqué que les rencontres « masquées » pouvaient avoir leur charme…

On peut se servir du masque pour rendre la rencontre plus ludique et originale !

Vous pouvez par exemple dire à la fille que l’avantage des rencontres masquées, c’est que ça nous laisse la possibilité d’être attirés par autre chose que l’apparence physique pure. C’est un peu comme le concept du « rendez-vous dans le noir. » (Et accessoirement, on peut rester tout à fait anonyme si on se prend un gros râteau… que du bonheur !)

On compte jusqu’à 3 et on retire nos masques ? 

On peut véritablement utiliser le masque à son avantage lors d’une rencontre, dans un supermarché ou ailleurs. 

D’autre part, j’ai même remarqué que pas mal de femmes avaient l’air plus attirantes AVEC le masque.

Il est tout à fait probable que ce soit la même chose dans l’autre sens. Peut-être que vous avez l’air PLUS attirant, vous aussi, quand vous portez un masque.

Si c’est le cas, ça peut rendre l’intérêt initial potentiellement meilleur.

Le port obligatoire du masque  dans la rue va-t-il rendre la drague impossible ?

La réponse est NON.

  • Déjà, on peut draguer des filles masquées.

Celles qui n’auront pas envie de vous rencontrer vont peut-être framer que votre attitude est socialement inappropriée – au lieu de dire « je suis pressée » ou « j’ai un copain ».

Mais qu’elles soient avec ou sans masque, ça ne change rien au résultat final.

  • Ensuite, le port du masque n’est pas obligatoire partout et à toute heure.

Pour l’instant (et il n’y a pas de raison que ça change) il n’est obligatoire que dans les quartiers à forte affluence. Et, suivant la ville, qu’à certaines heures de la journée (en général le soir, quand les fêtards sont de sortie).

Or, vous n’avez pas non plus besoin d’aller dans les quartiers à forte affluence pour rencontrer des femmes !

À moins d’être dans une ville de moins de 200 000 habitants, il y a sans doute un tas de quartiers modérément peuplés, où vous pouvez aborder.

Donc, même si vous n’osez pas (encore) aborder des filles masquées, vous pouvez toujours aller dans ces endroits-là.

Si vous vivez dans une grande ville, je vous recommande même de les privilégier pour draguer.

Il y a souvent moins de bitch-sield car les filles s’y font moins dérangées – que ce soit par des racailles, des mendiants ou des mecs bizarres.

  • Enfin, il est possible que ça décourage encore plus les hommes à pratiquer la drague de rue.

Le pense que, même s’il n’y a aucune raison réelle, la démocratisation du masque dans les lieux publics va dissuader beaucoup d’hommes à se lancer dans la drague de rue (et si elle pouvait par la même occasion dissuader les racailles de faire chier les filles, ce serait encore mieux !)

Certes, c’est mauvais pour le « business du coaching » : moins de clients potentiellement intéressés pour apprendre à draguer dans son quotidien.

Mais c’est plutôt une bonne chose pour les quelques courageux qui osent aborder en direct game (surtout s’ils le font bien).

La seule chose qui puisse vraiment nuire à l’efficacité de cette approche, à mon avis, ce serait que des milliers d’hommes se mettent à la pratiquer comme des machines. Ça la rendrait trop « populaire » pour être considérée comme originale par les filles.

Mais comme le masque va donner l’impression que rencontrer dans la rue est encore moins possible, beaucoup d’hommes vont se rediriger vers internet – le mode de rencontre qui est de loin de moins anxiogène.

Alors oui :

  • Le coronavirus risque de tuer la drague en boite de nuit.

1/3 des boites ont déjà fermé depuis l’émergence de Tinder et compagnie (maintenant, c’est là que les hommes ont espoir d’être « chanceux »).

Et avec la crise sanitaire, beaucoup d’autres vont devoir déposer le bilan…

Possible que ça devienne un mode de rencontre plus ou moins obsolète dans les prochaines années.

  • Le coronavirus risque d’engranger encore plus les sites de rencontres …   

Et par conséquent, rendre la drague online encore plus concurrentielle et compliquée.

Il va falloir investir encore plus d’effort en temps et argent pour obtenir des résultats.

  • …Mais ça ne va pas tuer la drague de rue.

Lors de ma dernière session de coaching, j’ai pris 7 numéros. Ça faisait très longtemps que ça ne m’était pas arrivé. La preuve que ça marche aussi bien qu’avant.

Évidemment, je ne dis pas que c’est un mode de rencontre facile et ultra efficace…

Aujourd’hui, il N’y a PAS de mode de rencontre facile !

Il y en a juste certains qui sont meilleurs que d’autres. Et ça dépend aussi beaucoup de votre âge, là où vous vivez, du genre de filles que vous appréciez, etc.

Mais tant que vous n’avez pas de bonnes compétences sociales et de séduction + une attractivité au moins correcte + que vous n’êtes pas prêt à prospecter régulièrement : vous allez galérer à faire des rencontres, quel que soit le(s) endroit(s) où vous allez.

Il n’y a que 3 sortes d’hommes qui réussissent auprès des femmes aujourd’hui :

  • Les hommes très beaux.
  • Les hommes célèbres (grâce à la preuve sociale et la présélection que ça leur confère).
  • Les hommes riches (principalement auprès des trentenaires et des michtonneuses)
  • Les hommes avec des compétences sociales et de séduction au-dessus de la moyenne.

À vous de voir à quelle catégorie vous pouvez appartenir.

Chrys

⊂Drague de rue : le port du masque risque-t-il de devenir un problème ?

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