Obèses, diabétiques, malades atteints de pathologie cardio-vasculaire ou respiratoire ne font plus partie des personnes vulnérables bénéficiant d’un arrêt indemnisé par le chômage partiel depuis le 31 août.
Aucune donnée médicale ne permet d’affirmer que les personnes qui étaient jusqu’à là à risque ne le seraient plus aujourd’hui.
Aucune raison ne justifie cela sinon que pour Emmanuel Macron et son gouvernement, il faut faire des économies sur l’indemnisation du chômage partiel, et mettre tout le monde au travail qu’elles qu’en soient les conséquences.
C’est inacceptable !
Section PCF de Sète