Alors que plusieurs milliers de tests PCR sont réalisés par semaine, les labos n’arrivent pas à gérer le flux des personnes.
Conséquences : les délais s’allongent, ralentissant l’identification des cas contacts. La situation semble incontrôlée.
« Les patients apprennent dix jours après leur contamination qu’ils sont positifs quand ils ne sont plus contagieux » révèle Catherine Hill, épidémiologiste.
Section PCF de Sète