« Pour la relance, il faut changer de logiciel. Les 560 milliards d’euros mis sur la table, 460 milliards du plan de soutien et 100 milliards de la relance, c’est notre argent, celui du pays ».
Le contrôle de son utilisation est vital, car ces mesures s’accompagnent de la suppression de plus d’un million d’emplois Les grands groupes profitent de la crise pour accélérer les délocalisations, diminuer la masse salariale, et augmenter les dividendes.
La première des nécessités est sociale et la philosophie de la relance Macron ressemble étrangement à la France d’avant. En dix ans, les dividendes ont augmenté de 70%, le salaire minimum de 12% et l’investissement productif a reculé de 5%.
Les propositions portées par la gauche dans sa diversité et les syndicats misent sur le plein emploi, la planification écologique et le pouvoir d’achat. Sur ces objectifs, les communistes appellent à des rassemblements devant les préfectures le 10 octobre ».
Section PCF de Sète