Mon premier livre part d'une constatation : on confond être et faire. Exemple de clarification :
Soit un embouteillage, on peut remplacer les automobilistes concernés par d'autres sachant "réellement" conduire ("être"), ou demander à quelqu'un de faire la circulation ("faire" / procédure).
Ce qui produit l'échec du changement, c'est de vouloir changer les gens. C'est aussi vrai dans notre vie privée.
Imaginons que nous nous mettions à penser que nous "sommes" très bien. En quoi cela changerait-il notre vie ?