Les îles Caïmans offrent, aujourd’hui comme hier, aux quelques 100 000 milles sociétés enregistrées sur leur minuscule territoire (peuplé de 62 000 habitants) au taux zéro d’imposition sur « les bénéfices acquis en dehors de la juridiction, et les revenus du capital comme les intérêts et les dividendes ».
Pourtant : le 6 octobre 2020, les ministres européens, dont la France, ont osé retirer les Iles Caïmans de leur « liste noire » des paradis fiscaux.
Le formidable coup de pouce à la fraude fiscale des grandes fortunes en dit long sur ces politiques, qui en bande organisée, se comportent comme des parrains aux services des tricheurs.
Section PCF de Sète