L’ex président Nicolas Sarkozy vient de se voir notifié sa quatrième mise en examen pour association de malfaiteurs dans l’affaire du financement de sa campagne de 2007 avec des fonds libyens du colonel Kadhafi.
Malgré un long interrogatoire de quatre jours, qui s’est conclu pars sa mise en examen, Sarkozy a le culot de se dire stupéfait.
Déjà mis en examen en 2018 pour financement illicite de campagne électorale et corruption passive, Monsieur Nicolas Sarkozy est loin d’en avoir fini avec la justice. Celui-ci doit être jugé fin novembre pour corruption dans l’affaire dite des écoutes ; Il doit être également jugé, du 17 mars au 15 avril 2021, pour le financement illégal de son autre campagne présidentielle de 2012 dans le cadre de l’affaire baptisée Bygmalion, du nom d’une société de communication.
Prononcé le nom de Nicolas Sarkozy c’est plonger dans l’univers des corrompus et des corrupteurs, bref la « bouillaque » des hommes de pouvoir, liés à l’argent, qui se croit au-dessus de lois.
Il peut toujours signer des autographes sur les bouquins qu’il a écrits, il ne changera pas cette réalité.
Pour la petite histoire, que personne n’oublie que le maire de Sète, François Commeinhes, fut un temps proche de Sarko, dont il a été le responsable départemental et élu au Sénat UMP.
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