Mes amis français adorent m’envoyer des diaporamas en tout genre. Je viens d'en recevoir un récemment qui expliquait comment un faible taux de natalité dans le monde occidental en général, et en France en particulier, mettait en danger l'avenir de ses autochtones et créait un vide pour attirer d’avantage d'immigrants, en particulier de persuasion musulmane, ou de groupes ethniques spécifiques, comme les Latins aux États-Unis.
Cette immigration massive détruirait ainsi les cultures locales auxquelles nous sommes habitués. J’aimerai faire quelques remarques sur ce genre de message.D’abord, notre planète est largement surpeuplée, au lieu des 7,8 milliards de personnes qui y vivent en ce moment, la plupart des scientifiques s'accordent à dire que nous ne devrions pas être plus de 2 milliards sur celle-ci pour garantir un mode de vie durable.
C’est bien évidemment cet excès d’humains qui cause le réchauffement climatique, crée un énorme danger de pénuries en nourriture et en eau, et attaque la biodiversité dont la planète a besoin pour fonctionner. Essayer d'augmenter le taux de natalité dans un pays développé est voué à l’échec.
Aucun jeune bien éduqué, sain de corps et d’esprit qui vit dans un pays occidental ne veut avoir de grande famille. Aujourd’hui les couples choisissent généralement un, peut-être deux enfants ou aucun. Élever sa progéniture coûte aussi terriblement cher et prend beaucoup de temps, pas moins d'un quart de siècle par enfant.
Nous devons juste nous habituer à l’idée que la race blanche va diminuer, voire disparaître ; c’est la réalité. La surpopulation se poursuivra ailleurs, alimentée par le manque d’éducation, un besoin de croissance capitaliste et par les forces religieuses qui se battent pour leur propre influence.
Cela signifie que l'immigration est le point incontournable qu’il convient de bien traiter. Vue de l'espace, on ne voit aucune frontière sur notre terre, juste des continents et de l'eau. Les frontières ont été inventées par les hommes pour protéger leurs territoires respectifs.
Désormais, pour entrer dans une enclave développée, les migrants devraient d’abord être nécessaires (éducation, savoir-faire et talents en demande) et productifs.
Puisqu'ils ont le privilège de jouir de la sécurité, de bonnes infrastructures et d'une vie plus prospère, ils devraient payer un droit d’entrée qui peut être répartis sur une durée de vie prévisible. Tout comme un automobiliste paie un péage pour emprunter une belle route où il peut rouler vite en toute sécurité.
Si ces conditions ne sont pas remplies, il ne devrait pas y avoir d'immigration. Migrer pour des raisons familiales pourrait être considéré exceptionnellement, et non être la règle, et devrait impliquer un coût bien plus élevé que pour venir travailler.
Enfin, chaque communauté doit avoir le droit de maintenir et de protéger ses coutumes d'origine et doit pouvoir choisir des règles suffisamment strictes pour décourager les migrants qui tiennent à garder et à maintenir leurs propres us coutumes, à quitter leurs lieux d’origine.
Une approche simple et directe. Si celle-ci vous intéresse et si vous souhaitez en savoir plus, je me ferai un plaisir de vous donner plus de détails.