Il y a quatre ans, je me réveillais avec la réalité du cauchemar Trump. Souffrances et frustrations allaient devenir mon quotidien.Je peux comprendre la douleur que ressentent aujourd’hui les supporters de celui-ci, bien que je ne puisse pas justifier la raison de leur soutient.
Cet horrible personnage n'a jamais été mon président ! Le seul point positif, pendant ces 48 mois, aura été un coup de frein sur le temps qui a ralentit comme s’il s'était passé en fait douze ans, ce qui est remarquable au vu de la vitesse vertigineuse à laquelle le temps s’écoule !Aujourd'hui, 75 millions d'entre nous ont finalement viré cette créature toxique. Il nous restera sur les bras, en tant que bien mauvais perdant, jusqu'au 20 janvier, mais sera ensuite libre de se défendre devant les tribunaux et, espérons-le, de mettre en œuvre son savoir-faire hors de la politique.
J'avais bien suggéré qu’il s’embauche comme vendeur d’autos d'occases, mais nous vivons dans monde tellement grand, pourquoi ne tenterai-t-il pas une seconde chance au Brésil, en Corée du Nord, aux Philippines ou même en Russie?
Aujourd'hui, je me sens renaître, j'ai hâte de revivre et je suis plus que fatigué de cette élection …