Ils réclament au Président de la République en urgence pour réduire les inégalités dans les zones dites prioritaires, l’attribution de 1% des cent milliards d’euros du plan de relance.
La crise sanitaire frappe plus dur là où déjà les inégalités sociales sont fortes. Parmi leurs propositions, on trouve :
- la mise en place de plusieurs fonds pour les associations,
- la mobilisation des acteurs de l’emploi,
- la création de centres médicaux de Santé,
- ainsi que la création de 7 000 postes dédiés en « médiation et tranquillité publique »
Avec cette lettre, déclare Philippe Rio, maire PCF de Grigny, « nous ne quémandons pas de l’argent mais des moyens pour bâtir et ré investir la République ».
Ne cherchez pas le maire de Sète, François Commeinhes, il n’est pas signataire de cette lettre à Emmanuel Macron.
Il ne met même pas en application les clauses sociales d’insertion sur les chantiers de la ville et dans les quartiers relevant du volet social de la rénovation urbaine.
Des jeunes du quartier de l’Ile de Thau viennent d’ailleurs de manifester leur colère devant cette défaillance de solidarité envers ce quartier prioritaire.
Section PCF de Sète
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