Sa maîtrise de la langue française trop parfaite, tout comme sa diction sans faille, sans même parler de son bureau sanitairement vide d'où il adressait ses compatriotes, le feraient presque passer pour un robot perfectionniste. Même s'il essaie, il ne parvient pas à se mettre au niveau de ses électeurs et l’écart que cela crée avec eux, n’arrange rien.
Il gagnerait énormément à être plus détendu, à paraître plus « normal », mais cela semble aller contre sa nature et reste sans doute la cause essentielle derrière sa faible cote de popularité de quarante-deux pour cent.
Cela va certainement lui coûter cher, dans seize mois, quand sonnera le temps de sa réélection ...