Hello my lovelies!
Je vous reviens cette semaine avec d’autres reviews ciné en retard (parce que décembre est arrivé, et ça veut dire que j’ai intérêt à magner mes fesses), et la première d’entre elles portera sur une suite que je n’avais pas forcément trop envie de voir en salles, mais qui se laisse regarder!
Let’s go, on discute Bad Boys for Life, sans spoilers!
Synopsis
L’heure de la retraite a presque sonné pour Marcus Burnett et Mike Lowrey, les ‘Bad Boys’. Mais alors que Marcus accepte de vieillir et de raccrocher son insigne, Mike, lui, se peint d’illusions, et met tous ceux qu’il aime en danger par arrogance…
Buddies for life
Bad Boys. Les potes boulets qu’une partie de moi non-négligeable a adoré regarder encore et encore au début des années 2000. Deux films d’action faciles à regarder, drôles et devenus cultes depuis.
Le besoin de faire un troisième opus ne m’a jamais vraiment paru indispensable, et quand il a été annoncé officiellement, j’ai eu sérieusement peur que la sauce ne prenne plus, que la franchise ait trop mal vieilli et qu’elle ne serve à rien du tout.
Force m’est de constater que la sauce a repris; en tout cas après une bonne vingtaine de minutes. Mike et Marcus (et donc leurs interprètes) fonctionnent toujours aussi bien ensemble, et s’il leur faut maintenant penser à laisser la place à la relève, on ne peut que se réjouir de les voir déconner autant qu’il y a vingt ans.
Même si, j’avais raison, cette suite ne sert à rien. Parce que les codes des deux premiers films ne sont plus tellement d’actualité, ce qui fait qu’il y a de francs moments ‘meh’ dans cette suite.
Donc…un avis en demi-teinte. D’un côté, l’alchimie entre les deux personnages principaux, de l’autre, un scénario plus que moyen…
Bjorn le Nerd
Casting?
Mike et Marcus ont donc toujours les traits de Will Smith et Martin Lawrence, visiblement ravis de se retrouver, et nous aussi!
Parmi les têtes connues, on retrouve aussi Joe Pantoliano en Commissaire; et Theresa Randle en Theresa Burnett.
Et parmi la jeunesse, j’ai été ravie de voir Vanessa Hudgens dans un rôle qui lui va plutôt bien; et mon plaisir coupable, Alexander Ludwig, que l’on a appris à connaitre en Bjorn Ironside, bourrin de son état, et qui joue sur ces clichés pendant tout le film, et c’est tellement jouissif. XD
En résumé, Bad Boys for Life est peut-être une bonne conclusion, mais qui arrive trop tard, et pas du tout inoubliable…
Note: 5,5/10 (scénario: 3/10 – jeu: 7/10 – BO: 7/10 – suite: 5/10)