À défaut d’un autre critère, cette pandémie est un élément commun unique que les humains peuvent partager de l'Afghanistan jusqu’au Zimbabwe.
Si tous les pays faisaient preuves d’un meilleur jugement, ils auraient dû tirer parti de cette communauté de circonstances ainsi que de connaissances, et en extraire les meilleures pratiques possibles. Ça n’a pas été le cas et cela a conduit à la disparité que nous constatons encore en matière de décès par habitant pour chaque pays.
D'un autre coté, cette crise mondiale a lancé une course planétaire afin de trouver des vaccins qui pourraient lutter contre ce fléau, et la vitesse à laquelle les premiers ont été développés est un avantage positif de cette émulation et un témoignage de ce que peut apporter le mondialisme.Maintenant, pouvons-nous imaginer qu’à l’inverse, cette crise affaiblisse les tendances nationalistes qui ont poussent un peu partout dans le monde ?
Très probablement ; au moins, le processus a été engagé et comme le nouveau coronavirus est clairement derrière la chute de Trump, notre nationaliste et apprenti-dictateur, il n'aide pas non plus la cause de Boris Johnson, ni ne fait avancer celles d'Andrzej Duda en Pologne et de Viktor Orbán en Hongrie!