"(Auparavant) von der Leyen avait défendu l’Agence européenne des médicaments - l’autorité chargée de l’approbation de l’UE - pour son approche, affirmant que des procédures qui prennent normalement beaucoup plus de temps ont été achevées en six mois. L'EMA utilise l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle ( ), et non le processus d'urgence du Royaume-Uni, a-t-elle expliqué, soulignant que les différences incluent les questions de responsabilité : en Grande-Bretagne, dans le cadre du processus d'urgence, la responsabilité incombe au gouvernement ; dans l'UE, elle reste chez les fabricants de vaccins." (Politico)
Le Financial Times annonçait, avant hier, que le Royaume uni avait déjà investi 11,9md£ en vaccins. Ce qui commence à ne pas être négligeable vis à vis du plan de relance.
Urgence sanitaire ou économique ? Le principe de précaution prend soudainement un strapontin ? Et si l'on inventait d'autres moyens de relancer l'économie que le vaccin ? Une mission pour "l'économie comportementale" ?
(Au passage, il semblerait que la grippe, comme en Australie, soit faiblarde cette année : serait-elle victime des "gestes barrières" ?)