Alain Lambert, conseiller général et sénateur UMP de l’Orne, était contre la réforme de la Constitution. Et puis le 16 juillet, après une rencontre avec Nicolas Sarkozy, Alain Lambert a retourné sa veste pour rejoindre le camp du oui. Quels arguments a donc utilisé le président pour le convaincre ? Nécessité de la réforme ? fonctionnement des institutions ? occasion de faire croître la zizanie au sein du PS ? On ne le saura pas.
Mais ce que l'on sait, c'est que la nomination d'Alain Lambert à la commission de surveillance de la Caisse des Dépôts et Consignations, a été rendue publique hier.
Le sénateur dément l'insinuation de marchandage sur son blog.