Il s’agit des « bracelets électroniques » dont ils vont être équipés à partir de la mi-mars, dans le cadre d’une demande d’aménagement de leurs peines définitives pour fraude fiscale.
Vu l’ampleur des faits avérés par la Justice, on ne peut pas s’empêcher de penser que même là, il y a deux poids et deux mesures.
Section de Sète du PCF