Lorsqu'un salarié se fait renvoyer, on dit parfois qu'il "se fait limoger"
L'origine de cette expression, qui fait référence à la ville de Limoges (Haute Vienne), est relativement récente.
Elle a en effet vu le jour au début de la Première Guerre Mondiale (1914-1918).
Après les premières défaites françaises, le Général Joffre, commandant en chef des armées, avait décidé de relever de leurs fonctions plusieurs officiers qu'il jugeait peu capables de commander.
Il avait alors choisi de les envoyer dans des régions éloignées du centre décisionnaire de Paris et moins exposée aux combats, en particulier à Limoges et dans ses alentours. Plus d'une centaine de hauts gradés ont ainsi été tenus de séjourner à l'écart du front. Le néologisme "limoger un soldat" est ensuite entré dans le langage courant pendant la Grande Guerre.
Lorsqu'un salarié se fait renvoyer, on dit parfois qu'il "se fait limoger"
L'origine de cette expression, qui fait référence à la ville de Limoges (Haute Vienne), est relativement récente.
Elle a en effet vu le jour au début de la Première Guerre Mondiale (1914-1918).
Après les premières défaites françaises, le Général Joffre, commandant en chef des armées, avait décidé de relever de leurs fonctions plusieurs officiers qu'il jugeait peu capables de commander.
Il avait alors choisi de les envoyer dans des régions éloignées du centre décisionnaire de Paris et moins exposée aux combats, en particulier à Limoges et dans ses alentours. Plus d'une centaine de hauts gradés ont ainsi été tenus de séjourner à l'écart du front. Le néologisme "limoger un soldat" est ensuite entré dans le langage courant pendant la Grande Guerre.