La cour de Cassation a annulé, le 31 mars, le pourvoi du parquet général de Lyon, qui entendait condamner Cédric Herrou pour avoir aidé des exilés à la frontière italienne.
Cette relaxe, définitivement acquise, qui ne peut plus être remise en cause, est un message fort pour tous ceux qui ont fait du principe de fraternité, un acte de solidarité active. Ce principe constitutionnel est consacré par la loi.
« Il y a cinq ans, je pensais que je pouvais être heureux seul dans ma montagne, borné dans une posture anti système. Ce combat m’a fait grandir. Aujourd’hui je sais que si on veut vivre mieux ensemble, il faut se battre pour transformer les choses et bâtir un monde plus fraternel ».
Cédric Herrou