Eh ouais, Ursula a été humiliée et doublement vexée, d'abord en tant que femme réduite au rôle d'accompagnante non significative d'un dirigeant européen, ensuite en tant que responsable malmenée, à la fois par le dirigeant turc et par son "collègue" qui n'a pas fait le moindre geste pour rattraper le coup !
Explications possibles après enquête de nos reporters.Le turc qui accueillait les deux européens serait un "travesti", comprenez un nazi déguisé, en fait un faux turc. D'ailleurs son nom le trahit puisqu'il s'appelle en fait Herr Dogue-âne. Serait-ce un ancien SS ? Son comportement avec Ursula peut le laisser penser, et d'autre part l'évolution politique dans son pays, son goût pour les purges, ses provocations internationales, les massacres ordonnés, dévoilent peu à peu sa véritable nature... D'ici à ce qu'il remette au goût du jour le célèbre salut "Heil.....!" il n'y a pas des kilomètres....
Côté Charles Miches "L", on comprend immédiatement qu'avec ses grosses miches (un gros cul de taille L, donc) il éprouve le besoin de s'asseoir confortablement et de prendre ses aises sans se préoccuper de ce qui se passe autour de lui.... Moi d'abord en quelque sorte! Et puis il est notoire qu'Ursula et lui ne peuvent pas se voir. Pas étonnant qu'il prenne du plaisir à humilier sa partenaire de visite... Tout en révélant sa misogynie ! Cela dit quel nullard en politique car ses petits plaisirs personnels mettent en évidence qu'il ne perçoit même pas que l'institution qu'il représente est littéralement bafouée puisqu'il laisse faire. Aucun sens de l'intérêt général européen qu'il est censé défendre, donc que fout-il là!
Et Ursula ? Manifester sa réprobation par un simple "Hum!", n'est ni franchement explicite ni suffisant pour exprimer son ressenti.
Que fallait-il faire ?En présence de personnes bien élevées et courtoises, Ursula aurait pu dire "excusez-moi mais il me semble que vous avez oublié le troisième fauteuil", et attendre debout jusqu'à ce que le truc (un peu d'approximation ne fait pas de mal) réagisse...
Miches "L" aurait pu se lever et proposer son fauteuil à sa collègue, ou bien aller sur le canapé avec elle en disant au truc "venez avec nous, il y a trois places! On sera bien pour boire le pastis allah santé de vot'pays", ou encore rester debout à côté d'Ursula en regardant droit dans les yeux le machin dans son fauteuil (donc en position d'infériorité).....
Herr Dogue-âne (chien bête en langue interprétative) aurait pu se rendre compte du lézard et réagir: soit demander d'apporter un fauteuil, soit proposer son fauteuil à Ursula et en attendre un autre, ou faire rapprocher le canapé face aux fauteuils et s'y installer lui-même. Variante faire enlever le deuxième fauteuil et installer les deux européens dans le canapé....
Cette anecdote montre à quel point les politiques de tous bords sont bêtes comme leurs pieds, totalement incapables de s'adapter à une situation imprévue, d'inventer un compromis pour solutionner le problème.... Ils ne méritent pas leur poste puisque n'importe quel citoyen aurait réagi bien plus sainement dans la même situation, et surtout il est indécent de les voir se plaindre de ce qui s'est passé car tous ont une part de responsabilité dans l'événement !
Nos reporters ont trouvé la solution qui aurait été la plus efficace, pour un buzz garanti comme on dit: faire le coup de Hara-Kiri!
Selon eux, et la rédaction approuve, Ursula aurait dû s'allonger sur le canapé, tourner le dos aux deux hommes, et dire à voix haute, forte, et très distinctement: "parlez à mon cul, ma tête est malade"