Il y a ces trois barres d’immeubles bien blanches qui se découpent sur un ciel gris tirant sur l’orage, posées là sur un bloc de béton au milieu d’une étendue d’herbes hautes et grasses.
Cent mètres devant les tours, quelques petites maisons jumelles et mitoyennes de briques, des jardins qui ressemblent à des aires de jeux avec leurs toboggans en plastique et leurs piscines de la taille d’un enfant.
Et il y a tout ce qu’on ne voit pas mais que l’on imagine, entre les deux.