LMPT, une association homophobe qui s’était transformée en parti d’extrême droite le 13 avril 2015 ne pourra plus financer ses basses œuvres toxiques et régressives sur le dos des finances publiques. C’était tellement choquant que vous m’en voyez ravi.
sourceSachant cela, on comprend encore mieux, dans le contexte, l’une des raisons pour laquelle la candidate LR aux prochaines élections régionales de Bretagne Isabelle Le Callennec tente de faire supprimer certains contenus gênants sur sa page wikipédia. Pour une future élue, cautionner ne serait-ce que par son appartenance à ce parti extrêmement droitier ce genre de délits, en effet, en plus de son homophobie notoire, ça fait tache ;).
sourceJe ne connais pas encore les détails de cette décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, mais en fait, je dois vous l’avouer, malgré ma rigueur habituelle : je m’en fous. L’important, c’est de continuer d’assécher les finances d’extrême droite. ça va dans le bon sens. Le combat contre la bêtise et l’obscurantisme continue….
Nota bene : ça y est, j’ai pu accéder à la totalité de l’article de la lettre A, mentionné par @ParisPasRose. On y apprend que non seulement LMPT mais également le SIEL, cette ordure fasciste de Renaud Camus, est également concerné par cette décision :
Dans son avis du 25 mars, l’autorité de contrôle a décidé de priver le mouvement de la déduction fiscale de 66 % sur les dons aux partis politiques. Les bienfaiteurs ne seront donc plus défiscalisés jusqu’à fin 2023. Cette sanction pèsera sur les comptes de la Manif pour Tous qui avait bénéficié de 1,3 million d’euros de dons deux années de suite, en 2017 et 2018. De même, d’autres petits partis ne pourront plus recevoir de dons défiscalisés : le SIEL, qui gravite autour du Rassemblement national, l’Union des démocrates et des écologistes, Les Amis de Guillaume Peltier et le parti islamo-conservateur Egalité Justice. (source)
Mon bonheur est total.