A jamais,
le sourire osé,
rayonne devant.
A jamais,
pour atteindre tes yeux
d’eau profonde.
A jamais,
Les douces cordes
flottent devant,
pour atteindre
mes oreilles ouvertes.
A jamais,
L’esprit concentré
sur le corps fait de bois.
Savoir à jamais,
ton âme, écouter.
A jamais,
La pièce se remplit
de mélodies.
A jamais,
le recueillement de signes anciens
à la lueur d’une simple bougie.
Chloe Douglas, 2010
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