Bonjour les Nautes!
Je recommence tout doucement à rédiger des articles pour vous sustenter, et même si le film que j’ai choisi de critiquer ajd n’est certainement pas l’un des meilleurs, il fallait quand même bien que je passe par là à un moment… XD
Donc, aujourd’hui, je vous parle de Mortal Kombat, le film, sans spoilers et en déclinant tout responsabilité concernant mon fangirling sur un certain acteur…
Synopsis
Il y a plusieurs siècles, dans un monde parallèle divisé entre Earthrealm et Outworld, le guerrier légendaire Hanzo Hasashi et sa famille sont tués par un homme dénommé Bi Han. A notre époque, une prophétie révèle qu’un nouveau groupe de héros se ralliera à la lignée de Hasashi…
There are fates worse than death!
Je n’ai peut-être jamais joué à Mortal Kombat, mais même sans, je peux reconnaitre à mille kilomètres le ‘Combattez’ du début de jeu et le look de certains personnages (à défaut de connaitre leur nom).
Ceci étant dit, après avoir adapté World of Warcraft (salut Travis), Detective Pikachu ou encore Assassin’s Creed en films avec plus ou moins de succès (ou de talent, et oui, je vomis toujours sur toi, Sonic), nous voici donc avec une énième relecture d’un jeu vidéo qui ne demandait absolument pas à être retranscrit sur grand écran.
Surtout que, si on cherche un fil rouge à Mortal Kombat, honnêtement, à part la baston……*poof*
Donc, si vous voulez, je n’étais pas vraiment emballée par un visionnage d’un long métrage que je devinais être merdique, jusqu’à ce que j’en voie la bande-annonce et qu’un certain samurai grognon ne montre sa trombine adorable.
(Je. Suis. Faible. On. Le. Sait.)
Bon. Niveau action, j’ai rien à dire. Ça pue les arts martiaux, j’adore ça, donc je sors le popcorn et je déguste.
Niveau esthétique, y a du moche (du très moche même) mais aussi des plans vraiment pas dégueu, donc allez, ça passe. Rapidement et en clignant des yeux, mais ça passe.
Mais alors, niveau scénar… *vomit* Enfin bon, s’il y en a un, de scénar, parce qu’honnêtement, j’aurais pu écrire ce truc sous acide, six pieds sous terre avec uniquement une main au-dessus du sol pour tenter de former des mots. Rien à voir, rien à signaler.
Mes élèves de douze ans peuvent deviner tout du film, du début à la fin, sans même essayer…
Voilà voilà…
(Inintelligible)
Bon, allez, du coup, parlons de ce qui sert de casting à cette bouse.
Le héros au charisme de moule, Cole Young, est donc incarné par Lewis Tan, déjà vu notamment dans Deadpool 2 dans lequel il interprétait (furtivement) Shatterstar.
Il est épaulé par l’inutile Jessica McNamee; Josh Lawson qui remplit le quota ‘Australien barbu comic relief’ (tout le monde en veut un depuis Captain Boomerang ou quoi???); ou encore Tadanobu Asano (Hogun dans les trois Thor), qui est le seul qui tape une classe tranquille parmi le groupe de débile.
Le grand méchant, Bi Han, est lui incarné par Joe Taslim, inexistant.
Mais les dix minutes les plus intéressantes du film sont donc monopolisées par un certain Hanzo Hasashi, incarné par mon samurai d’amour que j’aime trop laissez-moi fantasmer tranquille, Hiroyuki Sanada, aka mon Ujio chéri.
Qui m’a donc vendu cette bouse uniquement pour pouvoir me pâmer devant sa trombine et son art.
Badass. Grumpy cat. Adorable. Gorgeous. I love him.
Look how effing beautiful he is… *-*Alors okay, j’aurais peut-être mieux fait de ne pas regarder cette merde le lendemain d’un visionnage toujours émotionnant de The Last Samurai, mais voilà. On ne se refait pas. J’enchainerais bien avec Army of the Dead si je n’avais pas un tant soit peu d’amour-propre. XD
Bref, Mortal Kombat est nul au possible, malgré de bonnes scènes d’action, un très bon début et une bonne fin. Thanks Hiro.
Note: 3,25/10 (scénario: 2/10 (hein? il est où?) – jeu: 2/10 (2 points rien que pour mon Hiro) – BO: 6/10 (le seul truc pas trop moche) – adaptation: 3/10 (ça ne servait strictement à rien))