A nouveau désavoué, le Ministre de l’Intérieur d’Emmanuel Macron voit plusieurs dispositions phares de son schéma du maintien de l’ordre abrogés par le Conseil d’Etat.
C’est vrai de la technique de la « nasse » utilisée contre les manifestants, sans effet d’ailleurs sur les casseurs, c’est vrai aussi de l’obligation faite aux journalistes de quitter les manifestations lors des appels à la dispersion.
Après la censure le 20 mai par le Conseil d’Etat de l’article 24 de la loi de sécurité globale, c’est la démonstration claire que le gouvernement n’hésite pas à remettre en cause les droits fondamentaux.
La vigilance des salarié.e.s, des organisations syndicales, du défenseur du droit, des élus et des démocrates doit se renforcer.
Section PCF de Sète