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Le conseil municipal de Wellington (WCC) est passé d’un modèle d’infrastructure régionale partagée à adopter le cloud computing pour la plupart de ses applications.
Le conseil, ainsi que d’autres autorités régionales, notamment le conseil municipal de Porirua, le conseil municipal d’Upper Hutt et Wellington Water, signé un contrat de cinq ans fin 2015 pour partager l’infrastructure de Dimension Data, maintenant NTT.
En 2018, cependant, WCC a décidé d’examiner comment il pourrait ramener la gestion de ses services informatiques en interne, pour avoir plus de contrôle sur le provisionnement informatique. C’était le fondement de plans plus vastes pour moderniser son infrastructure afin de s’assurer qu’elle pourrait soutenir les objectifs du conseil.
Au cours des derniers mois de 2019, en collaboration avec les organisations de services partagés, WCC a choisi de déplacer la majeure partie de ses services vers le cloud d’Amazon Web Services (AWS), fourni depuis Sydney.
Le changement nécessitait un plan coordonné pour gérer la migration de centaines de serveurs, y compris les serveurs du site Web de la bibliothèque, les fournisseurs tiers, les ordinateurs Internet publics, le traitement des paiements en ligne, etc.
Alors que le site Web de la bibliothèque a effectué le changement, la majeure partie de ses systèmes sur 13 serveurs a été transférée vers le cloud du fournisseur de services de bibliothèque spécialisé The Library Corporation, qui est géré et alimenté par Oracle Cloud Infrastructure.
Pour ajouter au défi, le responsable des services TIC du WCC, Hein Beukes, a déclaré que certaines des applications du conseil étaient hautement intégrées et dépendantes d’autres bases de données et services, ce qui rendait la migration planifiée plus risquée.
Une annonce du conseil pour un programmeur analyste fin 2019 montre l’éventail des compétences requises avec une petite équipe d’une demi-douzaine qui devrait travailler sur environ 40 applications, y compris des applications Web et des systèmes à l’échelle de l’entreprise.
Les compétences techniques requises comprenaient une expérience avec la plate-forme AWS, notamment API Gateway, AWS Lambda, AWS RDS et plus encore.
Une expérience avec les plateformes C# et Microsoft .Net était également requise ainsi que les plateformes de bases de données telles que SQL Server.
Les compétences souhaitables comprenaient une connaissance de Linux, des frameworks JavaScript tels que React, Angular, HTML, CSS, AJAX et Node JS, ainsi qu’une connaissance des plates-formes d’intégration telles que Mulesoft et Dell Boomi.
Avec sa petite équipe informatique interne peu familiarisée avec les opérations cloud, une assistance supplémentaire était nécessaire. Le COE avait clairement besoin de trouver un partenaire.
En fin de compte, le conseil a sélectionné Consegna, partenaire de conseil avancé d’AWS.
« Alors que la plupart des clients accordent la priorité à l’expérience et au savoir-faire technique, le conseil a clairement indiqué qu’il recherchait également un partenaire pour l’aider à développer ses capacités et ses compétences internes, afin que l’équipe interne puisse gérer sa propre infrastructure après migration », a déclaré Michael Butler, directeur des opérations, Consegna.
Consegna et le conseil ont mis en place deux environnements cloud isolés : un environnement de production, où les applications étaient provisionnées ; et un environnement intermédiaire, où le conseil pourrait apprendre à fournir des services et à essayer différentes configurations, sans affecter les charges de travail en direct.
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WCC a immédiatement vu les avantages d’Amazon Elastic Compute Cloud (EC2) et le contrôle qu’il offrait sur les ressources informatiques. Cela a également éliminé les inquiétudes concernant la sécurité de l’infrastructure sous-jacente.
À chaque migration d’application, Consegna a également travaillé avec le chef de projet pour s’assurer que les développeurs du WCC puissent apprendre à configurer et à maintenir les services AWS par eux-mêmes.
“Auparavant, il fallait jusqu’à deux semaines pour mettre en place un serveur”, a déclaré Beukes. “Il était également difficile de garantir une livraison et une fourniture de services cohérentes, car il n’y avait pas deux serveurs identiques.
« Avec les scripts et les services d’AWS, nous pouvons immédiatement configurer et installer des serveurs identiques, en quelques heures. »
De plus, avant la migration, WCC devait payer un coût fixe d’avance pour son matériel. Désormais, il peut configurer et arrêter des instances de test à tout moment, en ne payant que la puissance de calcul utilisée.
Avant la migration, WCC utilisait un service de centre de contact géré pour l’aider à exploiter sa hotline publique et son réseau de téléphonie interne.
Cependant, le service n’était pas fiable et il y a eu plusieurs cas où les appelants n’ont pas pu joindre les représentants du service client.
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Consegna a suggéré au WCC de réaliser une preuve de concept avec le centre de contact cloud Amazon Connect. C’était un investissement qui rapporterait énormément lorsque la pandémie mondiale de COVID-19 frapperait.
« Même s’il s’agissait d’un centre de contact en libre-service, nous avons été époustouflés par la fonctionnalité disponible avec Amazon Connect et la simplicité avec laquelle il était possible de modifier les scripts vocaux et d’ajouter des utilisateurs, entre autres fonctionnalités », a déclaré Carol Wahrlich, centre de contact. directeur au conseil municipal de Wellington.
« L’équipe n’avait pas besoin de compétences spécialisées ni de formation supplémentaire, ce qui a facilité son intégration »
La double migration signifiait que lorsque la Nouvelle-Zélande est entrée dans son premier verrouillage pandémique au début de 2020, le WCC pourrait soutenir les opérations de main-d’œuvre à distance.
Aujourd’hui, WCC peut prendre en charge 1 800 utilisateurs distants simultanément, ce qui, selon lui, n’aurait pas été possible sous l’ancien modèle.
“Notre voyage vers le cloud est en fin de compte un projet visant à améliorer notre prestation de services et pas seulement une transformation informatique”, a déclaré Beukes.
Le COE a dépensé 16,8 millions de dollars en technologies de l’information et des communications au cours de son exercice 2020, peu de changement par rapport à 2019.
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