En début du mois, je regardais la télévision américaine publique et Judy Woodruf, la présentatrice ce soir-là, interviewait la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva.
Cette dernière répondait à des questions sur un rapport annuel publié jeudi par le Fonds monétaire international, qui projetait que l'économie américaine augmenterait d'environ 7% cette année à cause des programmes de relance qui allaient « doper » les dépenses de consommation et que la croissance augmenterait le risque d'inflation.
Mme Georgieva avait également souligné que les États-Unis devraient aider d'autres pays à faire face à la pandémie. Un bon et généreux conseil sur le papier, mais Kristalina Georgieva, tout comme Christine Lagarde avant elle, ne paie aucun impôt pour son job privilégié (Lagarde gagnait 467 940 dollars par an en salaire, plus 83 760 d’indemnités).C’est en considérant tout cela, que je trouve qu’elle ne manque pas d’air à vouloir suggérer que le les États-Unis, c'est-à-dire nous, les contribuables, devrions aider les autres pays à faire face à la pandémie alors qu’elle ne paye aucun impôt. L’hôpital qui se fout de la charité !
Cela ouvre bien sûr toute la discussion sur l'ONU et ses organisations affiliées comme l'OMS ou l'UNESCO et l'UNICEF, dont les dirigeants nous demandent sans arrêt, nous les contribuables, d'être charitables, mais ne paient pas un centime d'impôts. Ces odieux privilèges doivent prendre fin !