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Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

Publié le 13 septembre 2021 par Jpopeck @MontreCardioGPS

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Ce qui pourrait paraitre comme une simple évolution de version (passer de 3 à 4) est en fait une révolution software. En tout cas du côté de Samsung, qui a décidé d’abandonner son OS Tizen pour faire passer ses nouvelles montres connectées sous Wear OS (l’OS développé par Google). Mais que les fans de Samsung se rassurent, les développeurs de la marque Coréenne ont fait tout ce qu’il faut pour que les utilisateurs retrouvent l’interface qu’ils connaissaient (en améliorée même).

Ce changement apporte de nouvelles capacités en termes de téléchargement d’applications, de musique, d’assistant virtuel, de paiement sans contact, etc.

Techniquement, on devrait parler de Galaxy Watch4 (sans espace entre Watch et 4). C’est le branding choisi par Samsung, un peu comme la Suunto Ambit3 à son époque.

Test Galaxy Watch 4 Classic : le verdict

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

La révolution qui peut paraître effrayante au premier abord est en réalité une avancée. Samsung et Google ont réussi à coopérer pour tirer le meilleur des 2 mondes.

POUR
Excellent suivi santé
Plus d’applications
Interface graphique CONTRE
Autonomie
Fonctionnalités limitées avec certains smartphones Android

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Ce qui est nouveau sur la Galaxy Watch 4

Nouveau Galaxy Watch 4
  • 2 versions : Galaxy Watch 4 Classic (celle utilisée pour ce test) et Galaxy Watch 4
  • Wear OS 3 remplace le système d’exploitation Tizen
  • Première montre connectée sous Wear OS 3 (toutes marques confondues)
  • One UI Watch
  • Accès au Google Play store (téléchargement d’applications comme Google Maps ou YouTube Music)
  • Google Pay
  • Google Assistant (à venir dans une prochaine mise à jour)
  • Mémoire interne passe de 8 à 16Go
  • Nouveau capteur cardio optique
  • Capteur à impédance bioélectrique (pour mesurer la composition corporelle)
  • Détection des ronflements (sans rire)
  • Autonomie divisée par 2
  • Incompatible avec un iPhone

Les différents modèles de Galaxy Watch 4

En fait, c’est pas moins de 8 modèles de Samsung Galaxy Watch 4 qui arrivent sur le marché.

Pour commencer, il y a 2 versions :

  • Galaxy Watch 4 Classic qui succède à la Galaxy Watch 3 (avec une lunette rotative)
  • Galaxy Watch 4 qui succède à la Galaxy Watch Active 2 (sans lunette rotative)

Pour chacune de ces versions, le boitier existe en 2 tailles :

  • Galaxy Watch 4 Classic : boitier de 46mm ou 42mm
  • Galaxy Watch 4 : boitier de 44mm ou 40mm

Enfin, il existe pour chaque déclinaison une version LTE et une version Bluetooth (sans LTE).

Est-ce que la Galaxy Watch 4 est compatible avec un iPhone ?

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

La réponse est non. Contrairement aux montres connectées Samsung antérieures, les Samsung Galaxy Watch 4 ne sont pas compatibles avec les appareils Apple (iPhone, iPad ou autre appareil qui tourne sous iOS).

C’est difficile à expliquer, puisque Wear OS en lui-même est compatible avec les iPhone (j’ai déjà testé plusieurs montres connectées sous Wear OS). Mais il n’y a pas que les iPhone, les smartphones Huawei ne sont pas non plus compatibles.

A l’heure actuelle, on ne sait pas si c’est une décision ferme et définitive de Samsung ou si la compatibilité avec les iPhone sera ajoutée plus tard, par mise à jour.

Est-ce que la Galaxy Watch 4 est compatible avec tous les smartphones Android ?

Officiellement, Samsung annonce une compatibilité avec tous les smartphones qui tournent sous une version Android 6 ou plus récente.

Mais il y a d’autres limites :

  • L’application Samsung Health du Play store n’est supportée que sur les versions Android 8 ou plus récentes
  • L’électrocardiogramme et la mesure de pression sanguine ne sont compatibles qu’avec un smartphone Samsung (pas les smartphones Android des autres marques)

Donc dans les faits, on perd quand même des fonctionnalités si on n’utilise pas un smartphone de la marque Samsung.

Présentation de la Galaxy Watch 4

Présentation Galaxy Watch 4

Elle remplace : Galaxy Watch 3 et Galaxy Watch Active 2

Au-dessus dans la gamme : aucune

En-dessous dans la gamme : aucune

Visuellement, Samsung propose 2 montres connectées avec 2 looks bien différents :

  • La Galaxy Watch 4 Classic ressemble plus à une montre classique (comme son nom l’indique), avec un boitier en acier et une lunette qui encercle l’écran
  • La Galaxy Watch 4 fait plus montre connectée, design plus minimaliste, avec un boitier en aluminium et un écran qui s’étire jusqu’au bord du boitier

Au-delà du look, l’usage sera également un peu différent dans l’interface, puisque la lunette de la Galaxy Watch 4 Classic est rotative et peut être utilisée pour naviguer dans les menus et faire défiler les écrans. Sur la Galaxy Watch 4, cet aspect de l’interface est contrôlé par une fonction virtuelle sur le pourtour de l’écran tactile.

Le boitier est étanche à 50m et répond même à la norme MIL-STD-810 de l’armée américaine (garantie de robustesse aux chocs, aux températures extrêmes, etc).

Le bracelet se retire facilement grâce à un système de tirette. Mais l’ajustement entre le bracelet et le boitier de la montre est pourri. En fait, le bracelet ne pivote pas complètement librement autour de son axe. Il y a une butée sur le bas qui fait qu’il reste presque horizontal au lieu de venir se plaquer pour enrouler le poignet. J’ai testé la petite Galaxy Watch 4 Classic et vraiment, le bracelet était mal ajusté, la montre ballotte. La conclusion qu’il faut en tirer c’est que si vous hésitez, évitez de prendre le gros modèle et privilégiez plutôt le petit.

Ah et puis le bout pointu n’est pas plaqué par les 2 passants qui sont sensés tenir en place le bout du bracelet qui dépasse de la boucle. Du coup, il s’accroche facilement un peu partout. C’est chiant. Non franchement, ce bracelet, c’est pas une réussite.

Samsung ne communique que le poids des boitiers de Galaxy Watch 4, sans le bracelet. La Galaxy Watch 4 Classic 42mm que j’ai testée pèse 69g.

Il y a une grosse amélioration de la résolution de l’écran super AMOLED. La taille de l’écran est fonction de la taille du boitier mais il n’y a plus de distinction entre Galaxy Watch 4 Classic et Galaxy Watch 4 :

  • Galaxy Watch 4 Classic 46mm et Galaxy Watch 4 44mm : écran de 35mm et résolution 450 x 450 pixels
  • Galaxy Watch 4 Classic 42mm et Galaxy Watch 4 40mm : écran de 30mm et résolution 396 x 396 pixels

L’écran est protégé par une vitre Corning Gorilla Glass DX+, qui offre à la fois résistance aux rayures et bonne lisibilité.

Techniquement, la Galaxy Watch 4 est la première montre connectée à embarquer Wear OS 3 (la dernière version du système d’exploitation de Google). Mais si on ne vous dit pas que la Galaxy Watch 4 tourne sous Wear OS, ça n’aurait pas été si facile de le remarquer. Les habitués des versions précédentes de Galaxy Watch s’y retrouveront facilement. Il faut bien comprendre l’empilement de couches logicielles :

  • Google fournit le système d’exploitation Wear OS
  • Samsung a développé son interface graphique par-dessus. Du point de vue de l’utilisateur, c’est cette interface graphique que l’on voit lorsqu’on navigue dans les widgets et les menus

C’est un peu comme l’équipe McLaren en Formule 1, dont la monoplace est équipée d’un moteur Mercedes. Wear OS, c’est le moteur ; Samsung, c’est l’écurie.

Samsung a même implémenté One UI Watch, qui rapproche l’interface de la montre de celle du smartphone lorsqu’il s’agit d’un smartphone Samsung. Ainsi, toute nouvelle application installée sur le smartphone sera installée automatiquement sur la Galaxy Watch 4.

Les 2 boutons sont situés sur le côté droit. Celui du haut fait revenir à l’affichage de la watchface. Un appui long ouvre l’assistant virtuel. Le bouton du bas sert à annuler / revenir en arrière et un appui long ouvre le paiement sans contact. Les fonctions des 2 appuis longs sont personnalisables dans les paramètres.

C’est pas un peu bizarre ça ? En fait on a 2 boutons pour revenir en arrière quoi. Perso j’aimais mieux le fonctionnement sur les générations précédentes de Galaxy Watch, avec le bouton du haut qui servait à accéder aux applications.

Il y a donc quelques petites différences, notamment pour ce qui est des contrôles et des gestes. Par exemple, on fait un swipe up pour afficher la liste des applications au lieu d’appuyer sur le bouton du haut comme avant avec Tizen. Un swipe de la droite vers la gauche fait défiler les widgets (appelés tuiles dans Wear OS).

Le choix de tuiles des montres connectées Wear OS n’était pas folichon. Pour commencer, Samsung a ajouté ses propres tuiles. Ca fait déjà un large choix de tuiles concernant le suivi d’activité quotidienne. Mais la grosse nouveauté, c’est qu’on peut maintenant ajouter des tuiles d’applications tierces. Par exemple, on peut avoir une tuile Strava, qui permet de faire quelques réglages et lancer l’enregistrement d’une activité sportive en choisissant son profil sportif.

Le boitier intègre tout ce qu’il faut pour assurer les fonctionnalités d’une smartwatch :

  • Bluetooth
  • Wifi
  • LTE (sur les modèles LTE)
  • Haut-parleur
  • Micro

Dans le même temps, la Galaxy Watch 4 concentre tous les capteurs sport / santé qu’on peut imaginer sur une montre connectée en 2021 :

  • Puce GPS / GLONASS / Beidou
  • Capteur cardio optique
  • Capteur d’oxygénation sanguine (SpO2)
  • Electrocardiogramme (ECG)
  • Capteur de pression sanguine (nécessite quand même d’être calibré une première fois avec un appareil médical)
  • Capteur à impédance bioélectrique (pour mesurer la composition corporelle et le stress)
  • Altimètre barométrique
  • Accéléromètre, gyroscope, boussole

La liste des profils sportifs mélange des sports comme la course à pied, le vélo à des exercices de musculation (squat, crunch, etc). Ca fait un peu fouillis au début. L’idée d’avoir ces exercices de muscu, c’est qu’on peut les enchainés au sein de l’enregistrement d’une séance de musculation. Et puis on trouve aussi d’autres activités comme le yoga. Par contre, les grands absents sont les sports outdoor, comme le ski.

Loin du cliché de la montre connectée, la Samsung Galaxy Watch 4 propose quelques réglages et fonctionnalités qui valent une montre GPS de moyenne gamme chez une marque spécialisée sport, comme par exemple :

  • La personnalisation des champs de données
  • Jusqu’à 7 champs de donnée par écran
  • Des running dynamics comme l’équilibre du temps de contact gauche / droite
  • Le VO2max

Bon, il y a encore des lacunes, au premier chapitre desquels l’impossibilité de coupler une ceinture cardio. Du moins dans la configuration de base, car on verra plus loin qu’il existe plusieurs applications avec lesquelles on peut utiliser des capteurs externes en Bluetooth (même un Stryd si on veut).

Par contre, du côté du suivi d’activité quotidienne et de santé, on est au top du top.

La mesure de SpO2 est maintenant généralisée sur les nouvelles générations de capteurs cardio optiques (la petite LED rouge en plus des LED vertes). L’ECG se développe aussi, pas trop sur les montres de sport mais plutôt sur les montres connectées. Le capteur de pression sanguine existait déjà sur la Galaxy Watch 3 mais nécessite d’être calibré avec un vrai appareil chez le médecin.

Le capteur à impédance bioélectrique est la nouveauté de la Galaxy Watch 4. Enfin, en quelques sortes. L’idée n’est pas nouvelle puisque TomTom l’avait déjà intégré dans son bracelet connecté TomTom Touch. Mais c’est un peu tombé dans l’oubli et ça refait surface en 2021. Je pense que cela vient de l’amélioration de l’intégration du hardware. Sur le TomTom Touch, c’était pas très beau, on avait un espèce de gros bouton rond sur la face avant, juste en-dessous de l’écran, sur lequel il fallait placer un doigt. Cette fois, Samsung a pu l’intégrer comme le capteur ECG, en utilisant le fond du boitier et les boutons comme électrodes.

Côté montre connectée, l’expérience dépend du smartphone utilisé. Perso, j’ai utilisé pour la première fois un Samsung S8 et je dois avouer qu’on voit la différence. La montre s’intègre parfaitement avec le smartphone, avec beaucoup plus de fonctionnalités et surtout des fonctionnalités qui vont dans les 2 sens (du smartphone à la montre, comme les smart notifications ; mais aussi de la montre au smartphone, comme le lancement du téléchargement d’une application ou l’écoute d’un message vocal).

Il existe plusieurs options pour le lecteur de musique : mp3, Spotify ou YouTube Music. Ca, c’est une grosse avancée par rapport à ce qu’on trouvait avant sur les montres connectées Wear OS.

Sinon, ben entre les applications natives (paiement sans contact, assistant virtuel, météo, calendrier) et tout ce qu’on peut télécharger sur le Play store, ben il y a de quoi satisfaire à peu près tout le monde.

Télécharger le manuel utilisateur

Autonomie

Autonomie Galaxy Watch 4

Si l’autonomie est votre point d’attention lorsque vous comparez les montres connectées, asseyez-vous avant de lire la suite. Samsung se distinguait jusqu’à maintenant avec des autonomies de 2 à 4 jours, justement grâce à la maîtrise de la consommation électrique de leur OS Tizen. Hé bien désormais, avec Wear OS, c’est fini.

Samsung annonce une autonomie de 40h, aussi bien pour la Galaxy Watch 4 Classic que pour la Galaxy Watch 4. Si vous comptez profiter du suivi du sommeil (et donc porter votre montre au poignet la nuit plutôt que de la mettre à charger), ça veut dire que vous serez obligé de la recharger tous les jours. Comme une Apple Watch quoi…

D’autant que ces 40h d’autonomie théorique sont évaluées dans un usage ‘normal’ de montre connectée. Alors bien sûr, si vous utilisez beaucoup l’écran tactile, le Wifi, vous n’arriverez pas à 40h. Rajoutez là-dessus une séance d’une heure de course à pied et c’est sûr, il faudra la recharger le soir même.

Evidemment, si vous l’utilisez peu et que vous faites les réglages adéquats, vous pourrez tirer jusqu’à 1 jour 1/2.

Voilà les consommations approximatives que j’ai relevées :

  • 1h de sport avec GPS : 15%
  • 1 nuit sans mesure du SpO2 : 20%
  • 1 nuit avec mesure du SpO2 : 25%
  • 24h sans séance de sport : 70%

Ca fait une autonomie max pour une séance de sport en extérieur d’environ 6-7h.

Le fait d’activer le mode always on toute la journée fait qu’on n’arrive tout juste à tenir 24h, sans séance de sport.

De petites recharges vous permettront de réinjecter 25% de batterie en 30 minutes. Mais pour une recharge complète, il faut compter 2h. Je trouve ça quand même très handicapant. Il aurait fallu que Samsung implémente une recharge rapide qui permette une recharge conséquente de la Galaxy Watch 4 pendant les repas.

La recharge se fait sans fil, avec un connecteur qui s’aimante au dos de la montre et que vous devrez emporter avec vous chaque fois que vous partirez en week-end. Le reverse charging, avec un smartphone compatible est possible. Bon, le truc pas mal, c’est que la montre affiche le temps restant jusqu’à la recharge complète.

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Champs de donnée

Galaxy Watch 4 champ donnée

Durée

Distance

Allure : instantanée, moy

Vitesse : instantanée, moy

Fréquence cardiaque : instantanée, moy, max

Zones de FC

Cadence

Calories

Asymétrie

Longueurs

Mouvements de bras dernière longueur

Allure dernière longueur

Dénivelé positif

Running

Galaxy Watch 4 running

Il existe 3 profils de course à pied : le mode normal, un mode avec des séances d’entrainement pré-enregistrées pour viser différents objectifs (brûlage de calories, footing léger, etc), un mode tapis de course (sans GPS).

Sur le profil de base, on peut :

  • Fixer un objectif : durée, distance, calories
  • Personnaliser les écrans de donnée (2 écrans affichant jusqu’à 7 champs de donnée)
  • Tour auto
  • Pause auto
  • Guide audio

Ce qui est surprenant, c’est qu’il n’y a pas de GPS fix. On choisit le profil, la montre décompte 3-2-1 et c’est parti. Autant dire que c’est pas génial pour la précision GPS. C’est d’autant plus surprenant que lorsqu’on utilise une appli tierce, le temps d’attente du GPS fix peut durer quelques dizaines de secondes.

L’allure instantanée est stable et correspond à ce qu’affichaient mes autres montres GPS. Par contre, la précision du nouveau capteur cardio optique ne vaut pas celle de la Galaxy Watch 3.

On retrouve son historique d’entrainement dans l’application Samsung Health sur la montre (sur le smartphone aussi). Je dois dire que la présentation des données en fin d’exercice est vraiment complète et agréable à regarder.

Vous ne serez pas surpris si je vous dis que j’étais dubitatif quant à la fiabilité des métriques de foulée de la Galaxy Watch 4. Sur le papier, elle est sensée mesurer presque la même chose que les montres GPS Garmin et Coros sans aucun capteur additionnel (alors qu’il faut une ceinture cardio chez Garmin et un POD chez Coros).

Bref, j’en ai en la confirmation en comparant la métrique de rigidité (une donnée fournie habituellement par le capteur Stryd) sur 2 sorties course à pied réalisées sur 2 terrains bien différents : bitume pour la première, sous-bois sablonneux pour la suivante. J’ai obtenu un score de rigidité qualifié de mauvais dans les 2 cas. Bon…

Du coup, quoi penser des autres métriques : asymétrie gauche / droite, temps de contact au sol, temps en l’air, régularité, oscillation verticale…

Les meilleures applications de Wear OS pour le sport

Galaxy Watch 4 applications

Pour aller plus loin que l’application Samsung pour le sport, on peut télécharger :

  • Strava : l’affichage en direct n’est pas terrible, on ne peut toujours pas personnaliser les écrans de donnée, mais la sortie sera transmise directement sur Strava. Ce qui rend l’appli intéressante, c’est qu’on peut déclencher depuis la montre la Beacon (le suivi en direct), une fonctionnalité que Strava a basculé dans la version gratuite récemment.
  • Komoot : bien pour le suivi d’itinéraire et l’affichage de la cartographie.
  • Google Maps : en fait, c’est la mauvaise idée. Certes Google Maps permet d’afficher la cartographie et d’être guidé en turn by turn pour aller quelque part, mais ce n’est pas une application faite pour créer des itinéraires pour le sport.
  • Sporty Go : permet de faire beaucoup de choses, avec une douzaine de profils sportifs, dont certains comblent des omissions dans la liste des profils disponibles dans l’application Samsung de base (tapis de course, sports outdoor). On peut coupler des capteurs Bluetooth (ceinture cardio, capteur de cadence vélo et même Stryd), transférer les séances vers d’autres applications (Strava, TrainingPeaks, Final Surge), ajuster la fréquence de relevé des capteurs (1s, 3s, 5s, 10s, 30s, 60s), personnaliser la FCmax et la FCrepos. Le seul reproche que j’ai à lui faire, c’est la gestion des écrans de données. Franchement, c’est le bazar, il y en a plein et c’est difficile de s’y retrouver.
  • Ghost racer : couplage de capteurs Bluetooth, carto offline
  • Outdooractive : belle cartographie téléchargeable pour un usage hors ligne, affichage des coordonnées GPS, nombreux parcours accessibles depuis l’appli (course à pied, vélo, VTT, promenade.

Lorsqu’on utilise une appli tierce pour enregistrer des activités sportives, il faut faire bien attention au réglage de détection automatique d’activité physique. Ca passe avec certaines appli (comme Strava), mais avec d’autres (comme Sporty Go), ça fait doublon : on lance un enregistrement manuel et au bout du 10 minutes, la montre nous avertit qu’un enregistrement automatique a été lancé.

Autres sports

Galaxy Watch 4 sport

On trouve 3 listes de profils sportifs :

  • Les favoris, accessibles rapidement depuis la montre
  • La liste complémentaire, accessible depuis la montre après avoir cliqué sur Plus
  • Le reste, accessible uniquement depuis l’application Samsung Health sur smartphone et parmi lesquels on peut choisir manuellement les sports qu’on veut transférer sur la montre

Ces profils sportifs, on peut les classer dans 2 catégories :

  • Les sports (course à pied, vélo, natation, randonnée, vélo elliptique, etc)
  • Les exercices de musculation (tirage vertical, flexion de bras, développé couché, crunch, etc)

Pour tous les exercices de musculation, la Galaxy Watch 4 va détecter les mouvements et compter (plus ou moins bien) les répétitions et les séries. Après, on peut enchainer avec un autre exercice, puis un autre, puis un autre et le tout sera enregistré comme une seule séance. La limite, ben c’est la bibliothèque d’exercices qui n’est pas très développée et ne couvrira peut-être pas tous les exercices que vous avez l’habitude de faire.

Pour la natation, il y a 2 profils : en piscine (sans GPS) et en eau libre (avec GPS).

Pour le vélo, idem : 1 profil avec GPS pour l’extérieur et 1 sans GPS pour le vélo en salle.

Il y a d’autres profils pour la salle, comme les entrainements en circuit ou le yoga.

Tous les sports outdoor et sports collectifs sont par défaut absents de la montre. Il faut aller dans Samsung Health, passer en revue la centaine de profils pour choisir ceux qu’on veut ajouter dans la montre. Mais grosso modo, il y a tout : football, aviron, badminton, golf, ski, etc.

Précision GPS / cardio

Je n’ai rien à redire concernant la précision GPS. Sauf qu’on ne peut toujours pas exporter les données enregistrées dans Samsung Health et donc j’ai peu d’enregistrements à vous présenter (que ceux réalisés avec une appli tierce qui permet l’export).

En direct, j’ai trouvé l’allure instantanée assez juste. Mais l’étude des traces GPS montre que celles de la Samsung Galaxy Watch 4 Classic sont quand même moins fiables que celles d’autres montres GPS.

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

Même en ligne droite, il trace zigzague là où celle de la Forerunner 745 est parfaitement rectiligne.

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

En forêt, chaque virage est une difficulté plus ou moins bien gérée.

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

Hors forêt aussi…

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

Le comportement du cardio est quelque peu surprenant (mais confirme l’intérêt d’utiliser une ceinture cardio pour toute activité sportive). Généralement, le suivi est cohérent lorsque je m’arrête prendre une photo et que ma fréquence cardiaque descend autour de 110-120. Mais dès que l’effort reprend, qu’elle monte au-dessus de 140, les valeurs affichées par la Galaxy Watch 4 sont délirantes (quelle que soit l’application utilisée).

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

J’ai obtenu d’un peu meilleurs résultats en resserrant encore plus le bracelet. Habituellement, je ressers le bracelet de toutes les montres cardio GPS que je teste d’un cran par rapport à la position ‘confort’ que j’utilise tout au long de la journée. Là, j’ai essayé de resserrer de 2 crans. On en revient à ce problème de montage de bracelet pourri qui rend la montre flottante sur le poignet.

Test Samsung Galaxy Watch 4 Classic par un sportif pour les sportifs

Suivi d’activité quotidienne / santé

Galaxy Watch 4 suivi santé

Le suivi d’activité quotidienne et de santé est vraiment complet. A ma connaissance, c’est le plus complet du marché. Mais attention, il faudra d’une part un smartphone Samsung pour pouvoir profiter de l’ensemble des fonctionnalités et ensuite, éventuellement ajuster quelques réglages en fonction de ce que vous voulez suivre et l’impact que ça aura sur l’autonomie de la montre.

  • On a 3 choix pour l’enregistrement de la fréquence cardiaque : en continu, toutes les 10 minutes ou à la demande (mesure ponctuelle à lancer depuis le widget).
  • Deux choix seulement pour le suivi du stress : en continu ou à la demande (mesure ponctuelle à lancer depuis le widget).
  • Pour l’enregistrement du SpO2, c’est soit en continu la nuit, soit à la demande (mesure ponctuelle à lancer depuis le widget).

Samsung a parfaitement intégré les électrodes nécessaires à la réalisation de l’électrocardiogramme. Il y a une plaque métallique à l’arrière du boitier et l’autre électrode n’est ni plus ni moins que le bouton du haut. Pour réaliser un ECG, il suffit de place un doigt sur le bouton du haut et d’attendre 30 secondes sans bouger. Bon, quand je dis il suffit, c’est la théorie. Il m’a fallu 7 essais pour avoir un enregistrement concluant. Une fois que c’est fini, on a un résultat qui s’affiche à l’écran et les données sont transférées dans Samsung Health, avec la possibilité de générer un pdf pour les exporter.

Le capteur à impédance bioélectrique permet de déduire la composition corporelle. Comme pour l’électrocardiogramme, la plaque de fond du boitier et les 2 boutons servent d’électrode. Un très faible courant passe d’une électrode (sur un poignet) à l’autre (l’autre main). C’est la même technologie que certaines balances qui font ça aussi. La difficulté, c’est qu’il faut placer 1 doigt sur chaque bouton pendant 15 secondes, sans que ces doigts ne touchent la peau du poignet.

Ca permet de décomposer votre poids différentes parts, respectivement les muscles, les os, l’eau et la graisse. L’intérêt, c’est de suivre la transformation de son corps du fait de l’activité physique en allant un peu plus en détail que juste l’évolution du poids. On sait tous que faire du sport peut permettre de brûler des graisses sans forcément perdre du poids parce que dans le même temps on va gagner du muscle. Le widget affiche également l’IMC (il faut rentrer sa taille pour ça).

Le suivi du sommeil a été amélioré en augmentant la fréquence des prises de mesure. Ainsi, l’oxygénation sanguine est maintenant relevée toutes les minutes au lieu de toutes les 30 minutes précédemment. C’est un facteur important pour passer du suivi du sommeil à l’évaluation de la qualité de la récupération pendant le sommeil.

Et maintenant la Galaxy Watch 4 peut même enregistrer les ronflements. Ca fait un peu flipper, non ? L’idée de Samsung est de combiner la détection des ronflements avec la mesure de l’oxygénation sanguine pour tenter de détecter l’apnée du sommeil. Alors, même si la Galaxy Watch 4 dispose d’un micro, c’est via le micro d’un smartphone Samsung que se font les enregistrements. Ca veut dire qu’il faut dormir avec son smartphone sur la table de chevet. J’imagine que lorsqu’on a le bras sous une couette, ça doit bien étouffer les bruits de ronflement et le micro de la montre ne doit pas capter grand-chose. Et il faut faire attention, car ça bouffe de la batterie du smartphone, environ 30% pour la nuit (Bluetooth activé et Wifi désactivé).

Le truc rigolo, c’est que le lendemain, on peut s’écouter ronfler. En fait, les séquences avec du bruit sont non seulement identifiées au cours de la nuit avec l’heure correspondante, mais elles sont aussi enregistrées et on peut les réécouter. Ca parait inutile mais ça permet de confirmer que c’est bien un bruit de ronflement et pas autre chose qui a déclenché l’enregistrement.

La Galaxy Watch 4 est aussi une des très rares montres connectées qui enregistre automatiquement les siestes dans le suivi du sommeil. Sur le widget de suivi du sommeil, on peut avec un cercle de 24h avec 2 plages horaires : 1 pour la nuit et 1 pour la sieste.

Je n’ai pas pu tester la mesure de pression sanguine, car il faut pouvoir calibrer le capteur de la Galaxy Watch 4 la première fois (en allant chez un médecin par exemple, avec son brassard gonflable qu’il met autour du bras). C’est seulement à partir de là qu’on pourra ensuite relever sa pression sanguine simplement avec la montre, sans avoir besoin d’un autre appareil.

Sinon, on retrouve ce qui se fait depuis longtemps, comme le comptage du nombre de pas, des objectifs d’activité (6000 pas par jour par défaut), des calories brûlées, des alertes d’inactivité (avec une proposition de faire quelques mouvements pour se bouger), de la détection automatique de certaines activités comme la marche, le vélo ou la course à pied.

Montre connectée

Montre connectée Galaxy Watch 4

Contrairement à toutes les montres connectées Wear OS précédentes, la Galaxy Watch 4 ne se paramètre pas via l’application Wear OS mais via l’application Samsung Galaxy Watch. Pour le suivi des infos sport et santé, il faudra télécharger en plus Samsung Health.

Pour reprendre mon analogie avec les voitures de Formule 1 :

  • Sur la Suunto 7, Suunto a pris Wear OS et a développé quelques tuiles et applications. En gros, ils ont pris une voiture et ont changé quelques accessoires genre les rétro, les phares et les jantes
  • Pour la Galaxy Watch 4, Samsung a pu modifier Wear OS beaucoup plus en profondeur. Un peu comme si un constructeur avait fourni uniquement le moteur de la Formule 1 et que Samsung avait développé tout le reste de la voiture : châssis, carrosserie, amortisseurs, etc.

Pour le moment, les seules traces de Google au premier lancement de la montre sont Google Maps et le Play Store. Mais à terme, lors de la première configuration de la Galaxy Watch 4, on pourra choisir entre l’écosystème Google ou l’écosystème Samsung. De ce choix va découler l’utilisation de la solution de paiement sans contact (Google Pay ou Samsung Pay) et de l’assistant virtuel (Google assistant ou Bixby).

En plus des applications Samsung comme Pay, Messages, Bixby, Health, on trouve par défaut des applis Boussole, Calendrier, Météo, Trouver mon téléphone, Chrono, Alarme, Lecteur de musique, Enregistrement de mémo vocaux, Calculatrice, Galerie de photos, Outlook. Cette liste peut s’enrichir d’applications téléchargées sur le Play store.

La plus grosse difficulté à l’usage, au début en tout cas, c’est que les applications ne sont plus présentées de manière circulaire comme avec Tizen mais couvrent toute la surface de l’écran sous forme d’un pavage. Le problème, c’est qu’on ne voit que les icônes, le nom des applications n’est pas affiché. Alors au bout d’un certain temps, après avoir mis la Galaxy Watch 4 à sa main, ça passe ; mais au début, lorsqu’on explore, c’est pas simple de savoir ce qu’on a sur notre montre connectée.

Les applications sont présentées à peu près par lignes de 3 et on fait défiler l’écran verticalement. Au final, j’aime bien cette nouvelle formule car ça va plus vite qu’avant pour trouver l’application qu’on cherche. C’est vrai qu’avant, sur les Samsung sous Tizen, il fallait parfois faire un paquet de tours de lunette avant de trouver son appli. Maintenant, ça va assez vite.

Certaines applications ne prennent pas en charge la lunette rotative pour faire défiler les menus. Dommage.

On peut disposer jusqu’à 15 tuiles sur la droite de l’écran de watchface. Voici la liste des tuiles que j’utilise :

  • Profils sportifs
  • Lecteur de musique
  • Météo
  • Suivi quotidien (nombre de pas, cardio, stress, sommeil)
  • Composition corporelle
  • SpO2ECG
  • Défis
  • Calendrier
  • Komoot
  • Strava

En plus de celles-ci, il y en a encore 18 en stock. Bien sûr, on ajoute celles qu’on veut, supprime celles qu’on ne veut pas et on en change l’ordre comme on veut.

J’ai testé la Galaxy Watch 4 avec un smartphone Samsung S8. Hé bien je peux vous dire que ça change l’expérience de montre connectée par rapport aux précédentes montres connectées Wear OS que j’avais testées avec mon iPhone.

Les interactions se font entre la Galaxy Watch 4 et le S8 dans les 2 sens (et pas seulement du smartphone vers la montre). C’est-à-dire qu’on peut lancer le téléchargement d’une appli sur le smartphone depuis la montre. Le guidage se lance automatiquement sur la montre si on lance un itinéraire sur Google Maps sur le smartphone. On peut recevoir une alerte d’appel entrant, refuser l’appel et écouter le message, tout ça depuis la montre sans jamais sortir son smartphone. Oui oui, on peut écouter la messagerie grâce au haut-parleur de la montre sans sortir son téléphone de sa poche.

On peut recevoir une notification d’un message (SMS, WhatsApp ou autre) et y répondre :

  • En dictant un message
  • En enregistrant un message vocal
  • En envoyant un émoji
  • En écrivant avec le doigt sur l’écran tactile (lettre par lettre, c’est assez long)
  • En tapant un message avec le clavier

Lorsqu’on consulte un message WhatsApp, on peut remonter tout le fil de discussion sur la montre, y compris les émoticônes et les photos. On peut aussi déclencher un appel depuis la montre, en accédant à la liste des contacts.

Par contre, je ne suis pas fans des watchfaces proposées par défaut sur la Galaxy Watch 4. Et il m’a fallu un moment en fouillant sur l’appli Galaxy Watch pour en trouver une qui me plaise.

Vous risquez d’être un peu déçu en activant le mode always on. Avec ce mode, la montre affiche l’heure en permanence. Mais ça ne veut pas dire qu’elle affiche la watchface en permanence. En effet, c’est hyper consommateur en énergie, donc au bout de quelques secondes, certes l’écran ne s’éteint pas, mais l’affichage passe en mode frugal, c’est-à-dire en noir et blanc et avec uniquement quelques infos de base.

On peut réaliser quelques actions par des mouvements de la main. Techniquement, il est possible de refuser un appel en secouant le poignet ou de décrocher en bougeant la main de haut en bas. Bon, j’ai essayé 1 fois de décrocher et en fait ça a raccroché… Faut peut-être lire

Les notifications s’affichent par un swipe vers la droite ou une rotation de la lunette dans le sens anti-horaire. Chaque notification est présentée sur un écran, que ce soit un message, un rendez-vous du calendrier ou l’atteinte d’un objectif (de nombre de pas, par exemple). Au besoin, on peut cliquer pour aller consulter le message en entier.

Pour le lecteur de musique, 3 choix s’offrent à vous :

  • Transférer des morceaux mp3 dans la mémoire de la Galaxy Watch 4. On peut le faire très simplement depuis le smartphone
  • Télécharger Spotify (qui offre enfin, avec Wear OS 3, la possibilité d’écouter de la musique offline) – nécessite un compte Premium
  • Télécharger YouTube Music – nécessite un compte Premium

Pour les versions Galaxy Watch 4 LTE, le streaming de Spotify est possible via la connexion 3G/4G.

Il existe 2 fonctionnalités de sécurité :

  • Déclenchement manuel d’un SOS lors d’un triple appui du bouton du bas
  • Déclenchement automatique d’un SOS lorsqu’une chute est détectée

Dans les 2 cas, si vous n’avez pas une Galaxy Watch 4 LTE, c’est le smartphone qui va envoyer le SOS. Il est donc impératif d’emporter son smartphone, de le laisser connecté en Bluetooth à la montre et d’être sous couverture réseau. Il faut bien évidemment avoir défini une liste de contact d’urgence (au moins un). Ensuite, il se passe 3 choses :

  • Envoi d’un SMS « j’ai besoin d’aide »
  • Appel téléphonique vers le contact d’urgence
  • Envoi par SMS d’un lien Google Maps avec géolocalisation

Attention, si le SOS se déclenche en intérieur, là où votre montre capte très mal voire pas du tout le signal des satellites, alors la position GPS peut être erronée de plusieurs dizaines de kilomètres (j’ai testé depuis mon salon et il y avait 48km d’erreur).

Tant qu’on n’a pas manuellement stoppé le partage de position, la Galaxy Watch 4 et le smartphone vont continuer d’envoyer des SMS avec la géolocalisation si on se déplace.

On peut localiser sa montre depuis son smartphone, tout comme on peut utiliser sa montre pour localiser son smartphone (du moment que les 2 sont couplés en Bluetooth).

Conclusion du test de la Galaxy Watch 4 Classic

Avis Galaxy Watch 4

Avec de nouveaux capteurs et la bascule sur Wear OS, la Galaxy Watch 4 marque une grosse évolution pour Samsung. Finalement, à l’usage, l’impact de Wear OS est minimal pour l’utilisateur, car on retrouve l’interface Samsung. Le côté positif c’est qu’on a accès à plus d’applications utiles ; le côté négatif c’est la perte en autonomie. J’allais dire ‘donc c’est une question de priorités’ mais en fait non, puisque toutes les Galaxy Watch 4 tournent sous Wear OS, il n’y a plus d’option avec Tizen. Donc il faudra prendre un peu de temps pour ajuster vos réglages.

Pour ce qui est de l’interface graphique, la Galaxy Watch 4 est assez différente des autres montres connectées sous Wear OS que j’ai déjà testées. En tout cas, l’alliance Samsung-Google fonctionne bien et je n’ai eu aucun crash ni bug à déplorer pendant mon test.

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Lorsque vous consultez un article de “test”, vérifiez toujours qu’il contient des vraies photos prises pendant le test. S’il ne contient que des images du produit sur fond blanc, alors ce n’est pas un test. L’auteur d’un tel article l’a écrit sans jamais avoir eu le produit dans les mains. Je vous laisse juger de la pertinence de ses analyses…

Un test complet, ça demande du temps. Je ne suis pas payé pour le faire. Si vous êtes intéressé par l’achat de matériel sportif, vous pouvez me soutenir en passant par un des liens ci-dessous. Je toucherai une commission, ce qui contribuera à l’avenir de ce blog (et je vous en remercie).

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Alors, est-ce qu’il faut acheter cette Galaxy Watch 4 ? Ben ma réponse est clairement oui. Certes Tizen sera encore soutenu pendant quelques années par Samsung, mais ce sera surtout pour des corrections de bug et il ne faudra pas trop compter sur de nouvelles fonctionnalités. Samsung a décidé de baser son avenir sur Wear OS et donc je vous recommande de miser sur la Galaxy Watch 4 pour profiter des mises à jour, des applications et nouvelles fonctionnalités.

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