Gérard s’en souvient encore : « Par chance, nous sommes dirigés vers le rivage, non loin de l'aéroport, et avons trouvé là une cabane vide à quelques mètres de la plage. Au départ, nous n'étions pas sûrs que ce soit une si bonne idée d'y passer la nuit . . . L'endroit était sombre et plein de moustiques. Les lumières des villes australiennes et même de Nouméa avaient laissé place à une obscurité totale... »
Avec la fatigue et le stress accumulés du voyage, cette première nuit fut assez pénible, mais au lever du jour, nos deux voyageurs s’éveillèrent sur une magnifique plage de sable blanc dignes d'une carte postale paradisiaque. .Les deux continuèrent à travailler sur leur bronzage et à bien profiter des eaux du Pacifique Sud. « Le seul travail que nous avons du faire, fut de visiter une production de canne à sucre juste à coté ! » avait dit Marcel en plaisantant.