Duncan Jones n’est pas un réalisateur qui se contente des demi-mesures. Son premier film, “Moon”, repose sur une touche de changement de ton. Son suivi, “Source Code”, construit un thriller alambiqué en boucle temporelle, puis l’utilise comme cheval de Troie pour une histoire d’amour. Si Duncan Jones devait faire un film de jeu vidéo, ce serait toujours énorme. La seule question était : quelle taille ?
Il s’est avéré que la réponse était “Warcraft”. Le film le moins réussi de Jones auprès des critiques est devenu l’un des films de jeux vidéo les plus rentables de tous les temps, amassant plus de 400 millions de dollars au box-office mondial et offrant, à mon humble avis, la plus grande portée et la construction mondiale la plus ambitieuse de tous les films en le sous-genre.
“Warcraft” semble énorme. Ses visuels colorés éclatent. Sa partition démolit la subtilité. Si son récit trébuche, cela fait partie de ce qui fait de le regarder une expérience si sauvage. Je ne suis pas sûr que “Warcraft” soit objectivement un bon film, mais je préfèrerais passer deux heures à regarder un bon cinéaste prendre un grand coup et rater 90 minutes de médiocrité. “Warcraft” est absolument le premier.
Duncan Jones n’est pas un réalisateur qui se contente des demi-mesures. Son premier film, “Moon”, repose sur une touche de changement de ton. Son suivi, “Source Code”, construit un thriller alambiqué en boucle temporelle, puis l’utilise comme cheval de Troie pour une histoire d’amour. Si Duncan Jones devait faire un film de jeu vidéo, ce serait toujours énorme. La seule question était : quelle taille ?
Il s’est avéré que la réponse était “Warcraft”. Le film le moins réussi de Jones auprès des critiques est devenu l’un des films de jeux vidéo les plus rentables de tous les temps, amassant plus de 400 millions de dollars au box-office mondial et offrant, à mon humble avis, la plus grande portée et la construction mondiale la plus ambitieuse de tous les films en le sous-genre.
“Warcraft” semble énorme. Ses visuels colorés éclatent. Sa partition démolit la subtilité. Si son récit trébuche, cela fait partie de ce qui fait de le regarder une expérience si sauvage. Je ne suis pas sûr que “Warcraft” soit objectivement un bon film, mais je préfèrerais passer deux heures à regarder un bon cinéaste prendre un grand coup et rater 90 minutes de médiocrité. “Warcraft” est absolument le premier.
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