Magazine Journal intime
Il enrageait de ne pas connaitre le nom des nuages ni celui des arbres. Elle lui répondait toujours que cela ne faisait rien, puisqu’ils vivaient en ville, il suffisait de savoir s’il pleuvait ou non et prendre un parapluie en conséquence. Quant aux arbres, ajoutait-elle, on pouvait toujours se rendre au parc pour en apercevoir, comme d’autres se rendent au zoo pour voir des animaux.