« Primum non necere » fut proposé par Hippocrate dans son traité des épidémies. Ce « D’abord ne pas nuire » peut sembler une évidence, mais comme tout remède comporte des effets indésirables, aucun soin n’est inoffensif. La question qui est posée dans tout traitement médical est d’apporter plus d’avantages que d’inconvénients.
Il semble que cette "évidence" ait été quelque peu perdue de vue pendant cette crise sanitaire. Non, certes par la majorité des médecins, mais par les autorités scientifiques de ce pays.
Puis, par les autorités politiques qui se sont empressées d'appliquer les directives du Conseil dit Scientifique.
En ce moment la pandémie diminue largement dans la plupart des pays du monde, sauf dans ceux où l'on a vacciné le plus. Les médias ne parlent pratiquement plus de la Covid alors que pendant plus d'un an cette maladie a littéralement monopolisé les antennes.
Pourtant, il se passe encore bien des choses avec cette maladie. La plus importante étant les effets dits "secondaires", ce qui ne veut rien dire, car ce sont en fait des effets "indésirables" donc nocifs, voire mortels, de la COVID-19.
Certes tous les médicaments ont des effets indésirables, mais il se trouve que les différentes vaccinations, effectuées en deux prises jusqu’à présent, mais on parle déjà d'une troisième prise, produisent, dans un grand silence des médias naguère si prolixes sur ce sujet, beaucoup trop d'effets indésirables.
Le précepte d'Hippocrate est donc de plus en plus mis à mal.
De même que le principe fondamental qui doit présider à tout vaccin, à savoir que les bénéfices du vaccin doivent être largement supérieurs aux risques pour les vaccinés est, compte tenu du nombre toujours croissant d'effets indésirables enregistrés officiellement, donc largement minoré, de moins en moins respecté.
Pour les détails, chiffrés, sur ces effets indésirables, je vous renvoie à mon article sur le "Bilan sanitaire au 25 septembre 2021 dans les pays champions de la vaccination anticovid" en date du 2 octobre
La vidéo qui suit a déjà été censurée.
Pourquoi ?
Elle ne contient que des témoignages sur des patients atteints par les effets, beaucoup plus que secondaires, des très récentes vaccinations.
Je préfère ne pas penser à ce qu’auront produit ces effets dans 20 à 40 ans.
Mais, il ne faut pas que cela se sache et les politiques et les médias mettront tout en œuvre pour être aussi peu loquaces sur ce sujet qu'ils furent prolixes naguère sur les contaminations et leur suivi, heure par heure.
Le lien de la bande-annonce du film du même nom à venir