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Où j’en ai marre de ces pseudo intellectuels…

Publié le 02 août 2008 par Xanderross

Là je parle des gars de chez Télérama, vous savez, le magazine ciné qui se veut soit disant plus intélligent que les autres, le magazine qui ne se prend pas pour de la merde, ce magazine pour bobo parisiens.

Oui, ces fameux bob qui vont se sentir supérieur en crachant sur le dernier film US à gros budget mais qui au contraire, vont dire du bien sur le dernier film asiatique sorti et qui parle de bondage et sévices sexuelles, ou encore du dernier film norvégien filmé en noir et blanc nous montrant pendant 1h un couple en train de forniquer… Oui cette catégorie de personne qui se sentent plus intelligentes en essayant de vous expliquer que le réalisateur à essayé de montrer ça ou ça dans ses plans… Moi à ces personnes là, je leur répond à chaque fois, après qu’ils aient argumentés pendant au moins 20 à 25min (oui le pseudo intello adore parler peandant des heures, de ce fait, il se croit plus intelligent) “putain moi mon film préféré, c’est Transformers [là regard horrifié du gars], je kiffe voir des Robots en images de synthèses de 10m de haut se foutrent sur la gueule pendant 2h30…[là bien sûr je l'ai définitivement démoralisé].

Si je parle de ça, c’est tout simplement parce que un des journalistes de Télérama à publié une critique de Wall-E. Je ne reviendrais pas sur le fait que pour moi, ce film est un véritable chef d’œuvre…

Voici sa “critique”:

On se lance, et tant pis si cet éclat déclenche un feu nourri d’invectives. Voilà, Wall-E est un film qui confond poésie et mièvrerie, et pour qui l’écologie n’est qu’un prétexte saisi dans l’air du temps pour dérouler mollement une histoire tire-larmes. « Rabat-joie », dites-vous à droite ? « Croquemitaine », lancez-vous à gauche ? Allez-y, on est blindé. Que l’on plante les bambins devant une kyrielle de films d’animation plus ou moins formatés, plus ou moins puérils, d’accord, il faut bien les occuper ; mais que l’animation 3D et ses blockbusters ­calibrés pour plaire au plus grand nombre (ici, dialogue minimal égale spectateurs de 3 à 93 ans…) deviennent des parangons de sensibilité et de recherche esthétique, non, ça commence à faire trop.

Passe encore le rat cordon-bleu - l’année dernière, même époque - ou le panda karatéka (toujours à l’affiche), un peu moins les familles de voitures. Mais les robots amoureux, les machines nostalgiques de l’humanité qui couinent un discours écolo à deux balles, permettez-nous de ne plus être dupe. On ne devrait pas toucher aux robots sans avoir relu les lois de la robotique d’Isaac Asimov, lesquelles auraient certainement conduit Wall-E, l’automate compacteur d’ordures, à s’auto-médicamenter pour soigner sa dépression et, surtout, à ne plus regarder en boucle une scène de Hello, Dolly !, au mépris de tout sens cinéphile.

La seconde partie du film, dans le vaisseau où mutent des humains obèses (comme les spectateurs de Wall-E outre-Atlantique ?), est un sommet de laideur et de bêtise. Elle veut nous faire accepter avec le sourire un discours que nos grands-parents, en pleine guerre froide, prenaient au premier degré : l’homme est à deux doigts de détruire la planète, mais une prise de conscience radicale sauvera peut-être le monde… Faites vos dons à Greenpeace ? Mais non, aux ­actionnaires de Disney, qui sous leurs ­oripeaux pixellisés d’écolo-poètes comptabilisent les tickets vendus, le pop-corn ­englouti et les jouets en précommande.

Aurélien Ferenczi

Je dois avouer que je n’ai pas du voir le même film que lui… Je voulais répondre à sa critique, mais au final, je me dis simplement qu’il n’en vaut  même pas la peine, et le consternant dans l’histoire, c’est qu’il ose descendre Wall-E en flèche, mais quand je vois qu’il à aimé l’Auberge Rouge, ignoble remake de très mauvais gout… je me dis que finalement ce mec est irrécupérable et que n’importe quel blaireau pourrait devenir critique de ciné à Télérama…

A bonne entendeur salut…


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