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Présidentielle 2022 : cinq séquences à retenir de l’interview de Michel Barnier dans « 20h22 » sur France 2

Publié le 03 novembre 2021 par Soseki

Présidentielle 2022 : cinq séquences à retenir de l’interview de Michel Barnier dans « 20h22 » sur France 2

Le candidat à la primaire Les Républicains était l'invité, mardi soir, du journal télévisé. Il a notamment évoqué ses parrainages pour l'investiture, Eric Zemmour ou encore la politique migratoire de l'Union européenne.

Candidat à l'investiture Les Républicains pour l'élection présidentielle 2022, Michel Barnier est en lice pour la primaire fermée du parti, qui se tiendra le 4 décembre. L'ancien négociateur de l'Union européenne sur le Brexit et ancien commissaire européen était l'invité de France 2, mardi 2 novembre, dans la séquence " 20h22″du journal de 20 heures. Voici ce qu'il fallait retenir de son interview.

Interrogé sur le nombre de parrainages qu'il a recueillis pour la primaire des Républicains, Michel Barnier a affirmé avoir réuni " entre 700 et 720 " signatures de soutien à sa candidature pour la course à l'investiture, soit bien plus que les 250 qui étaient nécessaires. " Ce qui est important, a-t-il affirmé, c'est que des élus, très nombreux, de 80 départements, de métropole et d'outre-mer, me soutiennent ". Il a aussi souligné sa fidélité à son parti, même s'il a été épinglé pour ne pas avoir réglé sa cotisation en 2019 : " Je suis dans cette famille depuis toujours, j'ai adhéré à 15 ans au mouvement gaulliste ".

Une pique contre Xavier Bertrand et Valérie Pécresse, ses principaux rivaux pour le congrès LR, qui étaient partis puis ont repris récemment leur carte du parti en vue de la primaire, où seuls les adhérents votent.

" Monsieur Zemmour est un polémiste, un écrivain, un chroniqueur qui fait la promotion de son livre. Moi, cela ne m'intéresse pas de parler de lui ", a déclaré l'ancien député de Savoie, qui se présente comme le candidat de la " 'serénité ". Avant de préciser : " Je n'ai rien à voir avec monsieur Zemmour. La manière qu'il a de mettre à égalité le général de Gaulle et le maréchal Pétain est absolument scandaleuse. Je n'ai rien à voir avec cette personne. Quand les thèses d'extrême droite l'emportent, c'est souvent que les autres sont faibles, c'est aussi quelque chose qui conduit toujours à des affrontements (...) Notre pays est plein de ruptures, de tensions, de stigmatisations, on n'a pas besoin de plus, on en a assez. Ce n'est pas en ajoutant de l'agressivité à l'agressivité qu'on va résoudre les problèmes de la France ".


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