La semaine de quatre jours, vieux thème resurgissant ici et là, solution testée en Espagne et en Islande, notamment, ou envisagée dans le très laborieux Japon, pourrait être l'un des changements majeurs qui contribueraient à sauver la planète, selon le Financial Times et l'auteur britannique Simon Kuper.
Un gros bémol à cette proposition qui ne manquera pas de plaire à beaucoup de monde : la semaine de quatre jours, mais payée quatre jours !
Ce qui pose le problème de la façon suivante : accepterions-nous de travailler moins, donc d'être payé moins, pour sauver la planète ?
Corollaire : si nous travaillions moins, nous pourrions faire des choses plus attractives que notre travail actuel.
Corollaire : oui, mais faire des choses intéressantes avec moins d'argent, il faudra bien chercher.
Comme souvent, cette alléchante proposition soulève finalement beaucoup de questions.
Le lien vers l'article de Korii
Le lien vers un article de France Info sur l'expérience en cours en Espagne de semaine de quatre jours sans baisse de salaire
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble