autrefois concurrentes pour le négoce de la laine de toute l'afrique du sud, c'est port-elizabeth qui remporte aujourd'hui la mise, avec une salle de vente aux enchères, une criée sonore (pas comme le poisson à st gilles) même s'il y a là aussi un affichage numérique des caractéristiques des lots en vente.c'est bien un commissaire priseur, avec son petit marteau, qui vend des lots de laines à des acheteurs britanniques, australiens, sudafs, français, chinois etc...
à port-elizabeth il ne reste plus guère que le panneau merino street, pour rappeler ce passé...
... et des français qui portent encore des noms de chez nous, dont les parents ou les grands parents sont venus de roubaix et de tourcoings, et ne sont plus jamais repartis.
