Un homme surpris en train de faire défiler les selfies d’un client dans un atelier de réparation de téléphones portables à Worcester a été licencié.
Louise Johnson a pris son iPhone 11 pour le réparer chez le médecin mobile après que l’écran se soit brisé lorsqu’elle l’a laissé tomber sur le sol.
Lorsque la femme de 28 ans est revenue chercher son téléphone, elle a été stupéfaite de trouver un membre du personnel masculin lorgnant sur des photos d’elle en biknis et sous-vêtements qu’elle avait prises pour les partager avec son petit ami.
La police a été appelée et a établi que l’employée avait passé 15 minutes à regarder des photos sur son téléphone, mais n’a pas pu agir en raison d’une lacune légale. Cependant, le propriétaire du magasin a confirmé que le membre du personnel avait été licencié.
Louise a accepté de payer 85 £ pour que le téléphone soit réparé samedi, mais en voyant l’homme regarder ses photos, il est allé lui prendre l’appareil.
(Image : Leila Coker / SWNS)
Elle prétend qu’il l’a ensuite récupéré, se grattant la main dans le processus.
“Dès que je suis entré, je l’ai vu verrouiller mon téléphone et le mettre de côté, mais j’ai vu mon fond d’écran, alors je savais que c’était le mien”, a-t-elle déclaré.
“J’ai demandé si mon téléphone était prêt, et il m’a dit qu’il faudrait encore une heure car quelqu’un devait venir et finir de réparer le cadre.
“Mais je savais qu’il était sur mon téléphone, alors je lui ai demandé de le récupérer, j’ai glissé pour voir mes onglets les plus récents et j’ai vu qu’il parcourait toutes mes photos d’il y a des années.
“Certains d’entre eux m’étaient personnels.
“Il y avait des photos de moi en bikini et en sous-vêtements qui étaient assez intimes. C’étaient des photos que j’avais envoyées à un petit ami et à personne d’autre.
« Je pouvais voir qu’il les regardait.
“Je me sentais dégoûté et en état de choc total, je ne pouvais pas croire ce qui se passait.
« J’ai arraché le téléphone du comptoir, mais il m’a attrapé le bras et m’a griffé très fort.
«Je me sentais complètement violé. C’est effrayant et pervers de parcourir les photos les plus privées de quelqu’un d’autre sans sa permission.”
Lorsque Louise a demandé à récupérer son téléphone, elle affirme que l’homme a refusé de le remettre à moins qu’elle ne débourse 85 £ pour la réparation.
Elle a appelé la police qui s’est rendue dans le magasin et a confirmé que la vidéosurveillance montrait l’homme en train de regarder dans son téléphone pendant 15 minutes.
(Image : Louise Johnson / SWNS)
Mais les agents étaient impuissants à agir en raison d’une technicité de la loi car l’homme n’avait pas téléchargé ou partagé les images.
Louise, une responsable marketing de Londres qui rendait visite à des amis à Worcester, a ajouté : « Lorsque j’ai demandé à la police le nom de l’homme, ils ont refusé, affirmant que c’était à cause du RGPD.
« J’ai failli tomber sous le choc. Fondamentalement, un homme étrange peut fouiller dans mes photos privées sans autorisation, mais son identité est protégée en raison de la protection des données ? Comment est-ce juste ? »
Le directeur du magasin Mobile Doctor, Malik Ali, a déclaré : « Nous avons résolu le problème en présence de la police.
« Le travailleur impliqué a été licencié. Nous avons présenté nos excuses au client.
“Rien de tel ne se reproduira plus jamais à l’avenir.”
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Un homme surpris en train de faire défiler les selfies d'un client dans un atelier de réparation de téléphones portables à Worcester a été licencié.
Louise Johnson a pris son iPhone 11 pour le réparer chez le médecin mobile après que l'écran se soit brisé lorsqu'elle l'a laissé tomber sur le sol.
Lorsque la femme de 28 ans est revenue chercher son téléphone, elle a été stupéfaite de trouver un membre du personnel masculin lorgnant sur des photos d'elle en biknis et sous-vêtements qu'elle avait prises pour les partager avec son petit ami.
La police a été appelée et a établi que l'employée avait passé 15 minutes à regarder des photos sur son téléphone, mais n'a pas pu agir en raison d'une lacune légale. Cependant, le propriétaire du magasin a confirmé que le membre du personnel avait été licencié.
Louise a accepté de payer 85 £ pour que le téléphone soit réparé samedi, mais en voyant l'homme regarder ses photos, il est allé lui prendre l'appareil.
(Image : Leila Coker / SWNS)
Elle prétend qu'il l'a ensuite récupéré, se grattant la main dans le processus.
"Dès que je suis entré, je l'ai vu verrouiller mon téléphone et le mettre de côté, mais j'ai vu mon fond d'écran, alors je savais que c'était le mien", a-t-elle déclaré.
"J'ai demandé si mon téléphone était prêt, et il m'a dit qu'il faudrait encore une heure car quelqu'un devait venir et finir de réparer le cadre.
"Mais je savais qu'il était sur mon téléphone, alors je lui ai demandé de le récupérer, j'ai glissé pour voir mes onglets les plus récents et j'ai vu qu'il parcourait toutes mes photos d'il y a des années.
"Certains d'entre eux m'étaient personnels.
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« Je pouvais voir qu'il les regardait.
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« J'ai arraché le téléphone du comptoir, mais il m'a attrapé le bras et m'a griffé très fort.
«Je me sentais complètement violé. C'est effrayant et pervers de parcourir les photos les plus privées de quelqu'un d'autre sans sa permission."
Lorsque Louise a demandé à récupérer son téléphone, elle affirme que l'homme a refusé de le remettre à moins qu'elle ne débourse 85 £ pour la réparation.
Elle a appelé la police qui s'est rendue dans le magasin et a confirmé que la vidéosurveillance montrait l'homme en train de regarder dans son téléphone pendant 15 minutes.
(Image : Louise Johnson / SWNS)
Mais les agents étaient impuissants à agir en raison d'une technicité de la loi car l'homme n'avait pas téléchargé ou partagé les images.
Louise, une responsable marketing de Londres qui rendait visite à des amis à Worcester, a ajouté : « Lorsque j'ai demandé à la police le nom de l'homme, ils ont refusé, affirmant que c'était à cause du RGPD.
« J'ai failli tomber sous le choc. Fondamentalement, un homme étrange peut fouiller dans mes photos privées sans autorisation, mais son identité est protégée en raison de la protection des données ? Comment est-ce juste ? »
Le directeur du magasin Mobile Doctor, Malik Ali, a déclaré : « Nous avons résolu le problème en présence de la police.
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