On n'arrête pas de parler de "populisme". Mais qui est populiste ? Le peuple ou les hommes politiques ? Le populisme n'est-il pas une solution par défaut ?
Il a, d'ailleurs, un curieux effet. Au lieu de s'en prendre au leader populiste, ses opposants insultent le peuple. Ce qui renforce la conviction de celui-ci.
Pourquoi une telle erreur ? Parce qu'il est insupportable de penser que le "populisme" puisse être jugé meilleur que ses "idées" ? Pour le personnel politique, le changement serait-il seulement pour les autres ?...