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Glasgow Sheriff Court: un pervers de magasin de bonbons, 54 ans, a envoyé des images indécentes à une écolière de 13 ans en échange de cigarettes

Publié le 23 novembre 2021 par Mycamer

Un employé de la confiserie PERVERT a demandé des images indécentes d’une écolière de 13 ans en échange de cigarettes.

Paul Colgan a communiqué de manière indécente avec la victime entre avril et octobre 2020 à Cambuslang.

L’homme de 54 ans a envoyé des emojis s’embrassant, a demandé des photos nues et a dit à la fille qu’il la “aimait”.

LIRE LA SUITE: Est-ce-que tu le connais? Appel après la mort d’un homme dans la maison de Glasgow East End

Colgan a également envoyé une photo indécente de lui-même où il n’était identifiable que par son uniforme Dino’s Sweets and Treats en arrière-plan.

La jeune fille a d’abord refusé d’envoyer une photo d’elle en échange de cigarettes et on lui a dit que ce serait “notre petit secret”.

Colgan a plaidé coupable devant le tribunal du shérif de Glasgow pour avoir envoyé intentionnellement une communication écrite à caractère sexuel à la jeune fille dans le but d’obtenir une gratification sexuelle ou de l’humilier, de l’angoisser ou de l’alarmer.

Il a également admis l’avoir intentionnellement amenée à visionner une image sexuelle et à posséder des photographies indécentes d’enfants.

Le shérif Gerald Considine a tagué Colgan, également de Cambuslang, lors de la condamnation pendant quatre mois en le gardant à l’intérieur entre 20 heures et 8 heures.

Il a également été placé sous surveillance pendant deux ans et inscrit au registre des délinquants sexuels pendant cinq ans.

Le tribunal a appris que la jeune fille fréquentait régulièrement le magasin.

La jeune fille est allée au printemps 2020 acheter des marchandises et Colgan a demandé son numéro de téléphone qu’elle a remis.

Colgan a envoyé un texto à la fille 10 minutes plus tard pour lui demander si c’était “bizarre” d’avoir son numéro et elle a répondu “Non”.

Colgan a suivi le message avec un certain nombre d’émojis qui s’embrassent.

Il a également commenté le short qu’elle portait et lui a demandé une photo d’eux avec elle dedans.

La fille a trouvé ça “bizarre” et a bloqué Colgan.

LIRE LA SUITE: Une image de vidéosurveillance publiée après l’agression d’un bus de Glasgow

Elle s’est ensuite rendue au magasin avec son petit ami pendant que Colgan travaillait.

Il leur a dit : « Je parie que vous faites plein de trucs sexuels avec lui, pourquoi ne le faites-vous pas avec moi ?

À l’été 2020, la jeune fille a demandé à Colgan de lui acheter des cigarettes mais elle n’avait pas d’argent pour lui.

Il a accepté de les acheter mais a déclaré qu’il “avait besoin de quelque chose en retour”.

Le procureur Shona Howie a ajouté : “Lorsque la fille a demandé ce qu’il voulait dire par là, Colgan a répondu qu’il voulait une photo d’elle sans vêtements.

“Elle a refusé d’envoyer la photo, ce qui a amené Colgan à demander pourquoi pas et a déclaré que ce serait” notre petit secret “.

“Colgan a également déclaré qu’il ‘aimait’ la fille.”

La fille a entre-temps reçu une photo du pénis de Colgan sans son visage dessus.

Il a été identifié par l’uniforme du magasin en arrière-plan avant que la fille ne bloque à nouveau Colgan.

Plus tard, la jeune fille a demandé une dernière fois à Colgan d’acheter ses cigarettes.

Elle a déclaré qu’elle n’avait pas d’argent mais a accepté d’envoyer une photo d’elle.

La fille a envoyé à Colgan une photo d’elle dans un haut de football et un pantalon.

Colgan a répondu qu’il voulait “fesser” la fille et le couple est resté en contact jusqu’en octobre 2020.

La mère de la fille s’est alors “inquiétée” de leur contact et a trouvé des messages sur son WhatsApp.

Des exemples de conversations comprenaient Colgan affirmant que sa dette de magasin était plus élevée que le sexe oral d’une prostituée du centre-ville.

La police a été contactée et a retrouvé Colgan où il a été arrêté et son téléphone portable saisi.

Colgan a admis avoir des “photos à caractère sexuel” de la fille et lui avoir envoyé un message.

Il a déclaré aux agents qu’il “savait que cela n’allait pas” car elle avait moins de 16 ans.

Mlle Howie a ajouté : « Un total de trois images indécentes uniques d’enfants ont été localisées sur le téléphone et étaient accessibles à l’utilisateur.

“La femme sur ces photographies a été identifiée comme étant la fille.”



Un employé de la confiserie PERVERT a demandé des images indécentes d’une écolière de 13 ans en échange de cigarettes.

Paul Colgan a communiqué de manière indécente avec la victime entre avril et octobre 2020 à Cambuslang.

L’homme de 54 ans a envoyé des emojis s’embrassant, a demandé des photos nues et a dit à la fille qu’il la “aimait”.

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Colgan a également envoyé une photo indécente de lui-même où il n’était identifiable que par son uniforme Dino’s Sweets and Treats en arrière-plan.

La jeune fille a d’abord refusé d’envoyer une photo d’elle en échange de cigarettes et on lui a dit que ce serait “notre petit secret”.

Colgan a plaidé coupable devant le tribunal du shérif de Glasgow pour avoir envoyé intentionnellement une communication écrite à caractère sexuel à la jeune fille dans le but d’obtenir une gratification sexuelle ou de l’humilier, de l’angoisser ou de l’alarmer.

Il a également admis l’avoir intentionnellement amenée à visionner une image sexuelle et à posséder des photographies indécentes d’enfants.

Le shérif Gerald Considine a tagué Colgan, également de Cambuslang, lors de la condamnation pendant quatre mois en le gardant à l’intérieur entre 20 heures et 8 heures.

Il a également été placé sous surveillance pendant deux ans et inscrit au registre des délinquants sexuels pendant cinq ans.

Le tribunal a appris que la jeune fille fréquentait régulièrement le magasin.

La jeune fille est allée au printemps 2020 acheter des marchandises et Colgan a demandé son numéro de téléphone qu’elle a remis.

Colgan a envoyé un texto à la fille 10 minutes plus tard pour lui demander si c’était “bizarre” d’avoir son numéro et elle a répondu “Non”.

Colgan a suivi le message avec un certain nombre d’émojis qui s’embrassent.

Il a également commenté le short qu’elle portait et lui a demandé une photo d’eux avec elle dedans.

La fille a trouvé ça “bizarre” et a bloqué Colgan.

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Elle s’est ensuite rendue au magasin avec son petit ami pendant que Colgan travaillait.

Il leur a dit : « Je parie que vous faites plein de trucs sexuels avec lui, pourquoi ne le faites-vous pas avec moi ?

À l’été 2020, la jeune fille a demandé à Colgan de lui acheter des cigarettes mais elle n’avait pas d’argent pour lui.

Il a accepté de les acheter mais a déclaré qu’il “avait besoin de quelque chose en retour”.

Le procureur Shona Howie a ajouté : “Lorsque la fille a demandé ce qu’il voulait dire par là, Colgan a répondu qu’il voulait une photo d’elle sans vêtements.

“Elle a refusé d’envoyer la photo, ce qui a amené Colgan à demander pourquoi pas et a déclaré que ce serait” notre petit secret “.

“Colgan a également déclaré qu’il ‘aimait’ la fille.”

La fille a entre-temps reçu une photo du pénis de Colgan sans son visage dessus.

Il a été identifié par l’uniforme du magasin en arrière-plan avant que la fille ne bloque à nouveau Colgan.

Plus tard, la jeune fille a demandé une dernière fois à Colgan d’acheter ses cigarettes.

Elle a déclaré qu’elle n’avait pas d’argent mais a accepté d’envoyer une photo d’elle.

La fille a envoyé à Colgan une photo d’elle dans un haut de football et un pantalon.

Colgan a répondu qu’il voulait “fesser” la fille et le couple est resté en contact jusqu’en octobre 2020.

La mère de la fille s’est alors “inquiétée” de leur contact et a trouvé des messages sur son WhatsApp.

Des exemples de conversations comprenaient Colgan affirmant que sa dette de magasin était plus élevée que le sexe oral d’une prostituée du centre-ville.

La police a été contactée et a retrouvé Colgan où il a été arrêté et son téléphone portable saisi.

Colgan a admis avoir des “photos à caractère sexuel” de la fille et lui avoir envoyé un message.

Il a déclaré aux agents qu’il “savait que cela n’allait pas” car elle avait moins de 16 ans.

Mlle Howie a ajouté : « Un total de trois images indécentes uniques d’enfants ont été localisées sur le téléphone et étaient accessibles à l’utilisateur.

“La femme sur ces photographies a été identifiée comme étant la fille.”

— to www.glasgowtimes.co.uk


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