Les actions de Wall Street ont vacillé lundi, suite à la chute des séance précédente, alors que la haute technologie a subi une pression renouvelée pour la deuxième journée de bourse consécutive.
Les actions du Nasdaq Composite, axé sur la technologie, ont chuté de 1% lors des premières transactions, la société de véhicules électriques Tesla et le groupe de technologie de fitness Peloton glissant tous deux de plus de 5%.
Ces mouvements sont intervenus après que les investisseurs se soient retirés vendredi dernier des actions de sociétés technologiques américaines très valorisées, qui ont été sensibles aux changements soudains du sentiment du marché. Le Nasdaq 100, une jauge des actions les plus importantes et les plus activement négociées sur le Nasdaq Composite, a terminé la semaine dernière en baisse de près de 2%.
L’indice boursier général S&P 500 a augmenté de 0,2% lors des premières transactions américaines lundi.
Les actions technologiques, qui pendant la période de pandémie ont été stimulées par les restrictions sur les coronavirus, pourraient ne plus recevoir un tel soutien, a déclaré Trevor Greetham, responsable du multi-actifs au Royal London. “C’est maintenant un secteur extrêmement cher, juste très surévalué.”
Les données sur l’emploi aux États-Unis publiées vendredi ont montré que les employeurs américains ont ajouté 210 000 travailleurs le mois dernier, moins de la moitié du nombre prévu par les économistes interrogés par Reuters, mais aussi un chute importante du taux de chômage à 4,2 pour cent.
Cela est arrivé quelques jours après que Jay Powell, président de la Réserve fédérale, a signalé son soutien pour avoir réduit rapidement les achats mensuels d’obligations de 120 milliards de dollars de la banque centrale qui ont réduit les coûts d’emprunt et stimulé les actions pendant la pandémie. prix à la consommation aux États-Unis Rose à leur taux annuel le plus élevé depuis 30 ans en octobre.
Les achats de la Fed, bien qu’ils ne soient pas directement responsables des flux vers les actions technologiques spéculatives et les crypto-monnaies, avaient créé un “sentiment de confiance” et “le sentiment que vous ne perdrez jamais d’argent”, a déclaré Hani Redha, gestionnaire de portefeuille multi-actifs chez PineBridge. Investissements.
“La normalisation de la politique monétaire est un vent contraire pour les marchés”, a-t-il ajouté. « Les domaines les plus spéculatifs et les moins influencés par les fondamentaux sont les plus vulnérables. »
Le rendement de l’indice du Trésor à 10 ans de référence a augmenté d’environ 0,04 point de pourcentage à 1,38 % alors que le prix de la dette a baissé. Ce rendement clé de la dette s’échangeait à plus de 1,65% fin novembre, avant que l’Organisation mondiale de la santé ne déclare Omicron une variante préoccupante.
Dimanche, le haut responsable américain de la santé Anthony Fauci appelé les premiers signaux sur la gravité d’Omicron “encourageants”, déclarant à CNN “nous sommes certains qu’il y aura un certain degré et peut-être un degré considérable de protection” avec des coups de rappel.
Les investisseurs s’attendent à ce que les marchés basculent sur de nouveaux titres sur Omicron tandis que les scientifiques attendent des données concluantes sur la variante.
“Ce n’est pas non plus le bon moment pour la Fed de parler d’accélérer le resserrement monétaire”, a déclaré Greetham. “Les banques centrales devraient prendre du recul et attendre de voir ce qui se passe avec la variante.”
L’indice boursier européen Stoxx 600 a gagné 0,9%. Le FTSE 100 de Londres, qui a une forte pondération dans les producteurs et les mineurs de matières premières, a augmenté d’environ 1,2%, les traders se concentrant sur les actions qui profitent de la hausse des prix du pétrole.
Le brut Brent a progressé de 2,7% à 71,77 dollars le baril. L’indice de référence du pétrole a chuté d’environ 16% en novembre, plombé par les inquiétudes concernant l’augmentation de l’offre d’Omicron et du groupe de producteurs Opec +.
Pendant ce temps, l’indicateur de prix du bitcoin combiné de FT Wilshire, qui rassemble les données de plusieurs bourses, est tombé à 42 222 $ samedi, par rapport au niveau de clôture de vendredi supérieur à 53 000 $. Il s’échangeait à 48 437 $ lundi.
Sur les marchés boursiers asiatiques, l’indice Hang Seng de Hong Kong a chuté de 1,8 %, avec des baisses de prix importantes pour les grandes entreprises technologiques chinoises, dont Alibaba et Tencent. Le Topix de Tokyo a clôturé en baisse de 0,5%.
Les actions de Wall Street ont vacillé lundi, suite à la chute des séance précédente, alors que la haute technologie a subi une pression renouvelée pour la deuxième journée de bourse consécutive.
Les actions du Nasdaq Composite, axé sur la technologie, ont chuté de 1% lors des premières transactions, la société de véhicules électriques Tesla et le groupe de technologie de fitness Peloton glissant tous deux de plus de 5%.
Ces mouvements sont intervenus après que les investisseurs se soient retirés vendredi dernier des actions de sociétés technologiques américaines très valorisées, qui ont été sensibles aux changements soudains du sentiment du marché. Le Nasdaq 100, une jauge des actions les plus importantes et les plus activement négociées sur le Nasdaq Composite, a terminé la semaine dernière en baisse de près de 2%.
L’indice boursier général S&P 500 a augmenté de 0,2% lors des premières transactions américaines lundi.
Les actions technologiques, qui pendant la période de pandémie ont été stimulées par les restrictions sur les coronavirus, pourraient ne plus recevoir un tel soutien, a déclaré Trevor Greetham, responsable du multi-actifs au Royal London. “C’est maintenant un secteur extrêmement cher, juste très surévalué.”
Les données sur l’emploi aux États-Unis publiées vendredi ont montré que les employeurs américains ont ajouté 210 000 travailleurs le mois dernier, moins de la moitié du nombre prévu par les économistes interrogés par Reuters, mais aussi un chute importante du taux de chômage à 4,2 pour cent.
Cela est arrivé quelques jours après que Jay Powell, président de la Réserve fédérale, a signalé son soutien pour avoir réduit rapidement les achats mensuels d’obligations de 120 milliards de dollars de la banque centrale qui ont réduit les coûts d’emprunt et stimulé les actions pendant la pandémie. prix à la consommation aux États-Unis Rose à leur taux annuel le plus élevé depuis 30 ans en octobre.
Les achats de la Fed, bien qu’ils ne soient pas directement responsables des flux vers les actions technologiques spéculatives et les crypto-monnaies, avaient créé un “sentiment de confiance” et “le sentiment que vous ne perdrez jamais d’argent”, a déclaré Hani Redha, gestionnaire de portefeuille multi-actifs chez PineBridge. Investissements.
“La normalisation de la politique monétaire est un vent contraire pour les marchés”, a-t-il ajouté. « Les domaines les plus spéculatifs et les moins influencés par les fondamentaux sont les plus vulnérables. »
Le rendement de l’indice du Trésor à 10 ans de référence a augmenté d’environ 0,04 point de pourcentage à 1,38 % alors que le prix de la dette a baissé. Ce rendement clé de la dette s’échangeait à plus de 1,65% fin novembre, avant que l’Organisation mondiale de la santé ne déclare Omicron une variante préoccupante.
Dimanche, le haut responsable américain de la santé Anthony Fauci appelé les premiers signaux sur la gravité d’Omicron “encourageants”, déclarant à CNN “nous sommes certains qu’il y aura un certain degré et peut-être un degré considérable de protection” avec des coups de rappel.
Les investisseurs s’attendent à ce que les marchés basculent sur de nouveaux titres sur Omicron tandis que les scientifiques attendent des données concluantes sur la variante.
“Ce n’est pas non plus le bon moment pour la Fed de parler d’accélérer le resserrement monétaire”, a déclaré Greetham. “Les banques centrales devraient prendre du recul et attendre de voir ce qui se passe avec la variante.”
L’indice boursier européen Stoxx 600 a gagné 0,9%. Le FTSE 100 de Londres, qui a une forte pondération dans les producteurs et les mineurs de matières premières, a augmenté d’environ 1,2%, les traders se concentrant sur les actions qui profitent de la hausse des prix du pétrole.
Le brut Brent a progressé de 2,7% à 71,77 dollars le baril. L’indice de référence du pétrole a chuté d’environ 16% en novembre, plombé par les inquiétudes concernant l’augmentation de l’offre d’Omicron et du groupe de producteurs Opec +.
Pendant ce temps, l’indicateur de prix du bitcoin combiné de FT Wilshire, qui rassemble les données de plusieurs bourses, est tombé à 42 222 $ samedi, par rapport au niveau de clôture de vendredi supérieur à 53 000 $. Il s’échangeait à 48 437 $ lundi.
Sur les marchés boursiers asiatiques, l’indice Hang Seng de Hong Kong a chuté de 1,8 %, avec des baisses de prix importantes pour les grandes entreprises technologiques chinoises, dont Alibaba et Tencent. Le Topix de Tokyo a clôturé en baisse de 0,5%.
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