... il faut le signaler, ce que la plupart des grands médias n'ont pas fait. Ci-joint trois articles sur ce sujet. Dois-je préciser que ce respect (inhabituel en Europe pour l'instant) de la démocratie et des libertés publiques ne peut que me plaire. Et, me conforter dans ma décision prise il y a trois ans de vivre désormais en Andalousie.
Pour trouver de la documentation sur ce sujet, ô combien brulant, j'ai dû chercher un bon moment.
Le premier article qui a attiré mon attention est celui du Petit Journal d'Andalousie sur le rejet de la demande de passeport sanitaire du gouvernement Andalou par le Tribunal Constitutionnel d'Espagne, l'équivalent de notre Conseil constitutionnel.
Le second article, très complet, que j'ai trouvé sur un site canadien (!), m'a rappelé que ce rejet du passeport sanitaire avait déjà eu lieu au mois de juillet dernier ! Ce qui n'a pas empêché le gouvernement régional d'Andalousie (ainsi que ceux d'autres régions espagnoles) de proposer une nouvelle fois de passer outre à la décision du Tribunal constitutionnel espagnol.
Le troisième article rappelle que ce même Tribunal constitutionnel a, le 14 juillet dernier, jugé illégale la prolongation de l'état d'alarme, équivalent à notre état d'urgence sanitaire.
Au niveau politique il est amusant de constater que ces recours juridiques, couronnés de succès, ont été demandés par Vox, parti politique d'extrême droite !
Quand les grands principes démocratiques doivent leur salut à un parti politique d'extrême droite, on ne peut que déplorer l'aveuglement des partis politiques de gauche.
N.B
J'ajouterais que cet aveuglement n'est pas limité à l'Espagne, car en France le parti socialiste notamment, enfin ce qu'il en reste, n'a jamais envisagé de recours contre l'état d'urgence ou le passe sanitaire. Bien au contraire.
En ce qui me concerne ma position est claire sur ce sujet, depuis mon premier article et j'en ai écrit beaucoup.
La santé n'existe pas dans la Constitution française. C'est donc une question éminemment personnelle. Je n'ignore pas que les vaccins sont une exception notable. Toutefois, il existe des règles précises en cette matière et il se trouve que la plupart de ces règles ont été bafouées depuis le début de la crise sanitaire.
- Tous les "vaccins" inoculés, ne sont pas des vaccins, au sens épidémiologique. Ce sont très exactement des expériences de thérapie génique.
- Tous ces vaccins sont toujours en phase expérimentale, en dépit des énormes mensonges de notre ministre de la Santé. La législation internationale sur les vaccins interdisait formellement d'utiliser des vaccins expérimentaux à l'échelle mondiale.
- L'obligation vaccinale est illégale. Donc, le passe sanitaire, moyen inventé par le cabinet Mac Kinsey (qui conseille Macron) pour contourner cette règle, est illégale.
- Que penser de ces "vaccins" qui non seulement n'empêchent pas de contaminer les autres, mais n'empêchent pas non plus d'être contaminé à nouveau ?
- Que penser de ces "vaccins" qui doivent être désormais renouvelés impérativement tous les six mois ? À vie, car les vaccins contre la grippe, maladie qui appartient à la même famille des coronavirus, n'ont jamais éradiqué cette maladie.
- Que penser de ces vaccins qui en dépit du fait que la fameuse "immunité collective" est déjà atteinte dans certains pays n'empêchent pas que dans ces mêmes pays, champions de la vaccination, les contaminations continuent de plus belle ?
- Last but not least, les vaccinations anti-Covid ont provoqué, en moins d'un an, un nombre "d'effets secondaires" (toujours déplaisants et parfois mortels) jamais atteint dans l'histoire des vaccinations. Deux millions et demi, selon les dernières statistiques, alors que tous les vaccins modernes précédents n'ont jamais dépassé les 300 000 cas (au niveau mondial) depuis plus de 50 ans.
Lire ci-après les articles sur le rejet de l'obligation vaccinale en Espagne
L'article du Petit Journal
L'article canadien
L'article sur le rejet de la prolongation de l'état d'alarme en Espagne