J'ai eu plusieurs fois, et encore aujourd'hui, des demandes d'intervention émanant de personnes propageant des fake-news ou des messages de haine sur les réseaux sociaux ou sur internet.
J'ai refusé à chaque fois car même si je ne crache pas sur le travail, je me vois mal me battre sur Facebook contre les théories du complot et en même temps aider qui que ce soit à bâtir un site nettement complotiste.
Mes interlocuteurs m'ont rétorqué qu'en démocratie on pouvait avoir des désaccords... bien entendu, mais de là à travailler pour ceux que l'on combat certainement pas.