Grey’s Anatomy // Saison 18. Episode 7. Today was a Fairytale.
Une grande partie de cet épisode de Grey’s Anatomy se concentre sur observer les choses sous un autre angle. C’est une façon assez artificielle de donner à cet épisode un peu plus de consistance alors que globalement la saison part un peu à vau l’eau. Jo et Link sont probablement le plus gros symbole de la thématique de cet épisode. Mais là aussi après Link et Amelia à Thanksgiving, cet épisode ne change rien de spécial. Amelia ne veut pas se marier ou avoir d’enfant. Cela ne changera pas le fait qu’elle n’est pas claire sur ce qu’elle veut réellement. Link se contente de tout ça, Amelia continue de lui faire du mal et Grey’s Anatomy ne fait rien pour améliorer la situation. Cette relation ne sert strictement à rien et la série la garde sous le coude. Jo décide de faire quelque chose car cela ne va pas du tout. Grey’s Anatomy ajoute à son histoire la morale des contes de fées alors que Jo apprend notamment l’histoire de Rapunzel. Si cela peut être mignon au premier abord, je ne vois pas ce que cela change réellement en dehors de faire ressortir ce que les personnages ressentent.
Nous sommes dans Grey’s Anatomy donc au delà du conte, un cas médical se glisse dans la journée off de Jo et Link : le prince fait une crise cardiaque. Si cela permet de démontrer une chose dans cet épisode c’est que Jo et Link forment un solide duo que j’aimerais voir travailler plus souvent ensemble. La sorcière de Rapunzel avec qui passe du temps Jo dans la salle d’attente de l’hôpital n’apporte rien alors que Link et Teddy qui font tout pour sauver Jeremy apportent quelque chose d’un peu plus intéressant. Mais le côté ultra cryptique de l’histoire de Jo et Link m’ennuie car Grey’s Anatomy ne fait pas vraiment avancer l’histoire si ce n’est nous offrir à nous une perceptive différente avec cette dynamique qui fonctionne à l’écran. Amelia et Kai de leur côté continuent leurs tests pour soigner Parkinson. Le Dr Hamilton qui s’excite car sa condition personnelle se dégrade et que personne n’avance sur un traitement m’ennuie aussi.
Toute cette histoire autour de Parkinson n’est pas aussi intéressante qu’elle pouvait l’être sur le papier et je trouve ça dommage. Meredith continue d’être un personnage secondaire cette année alors que j’aurais aimé la voir sur le devant de la scène. La seule perspective qui m’intéresse après cet épisode c’est de découvrir le Dr Jordan Wright qui est très talentueux et est fan de Bailey. Meredith l’offre au Grey Sloan comme un cadeau à Bailey et c’est la seule chose qui m’intéresse réellement jusqu’à présent. Autour de ça, cet épisode ne m’a pas plus emballé que ça.
Note : 5/10. En bref, Grey’s Anatomy semble perdre la flamme qui l’animait l’an dernier.
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