WASHINGTON – Boeing est prêt à étendre son réseau de fournisseurs allemands si le nouveau gouvernement de Berlin choisit d’acheter des versions de son avion de chasse F-18 pour remplacer une partie des Tornados du pays, a annoncé la société mardi.
La filiale allemande du géant de l’aérospatiale a déclaré avoir demandé à plus de dix industries locales de soutenir les alternatives Super Hornet et Growler, que l’Allemagne a déclaré il y a des années qu’elle achèterait probablement dans le cadre d’une flotte mixte de F-18 et d’Eurofighters.
Alors que les partenaires locaux potentiels sont restés anonymes dans la déclaration, Boeing a déclaré que la sensibilisation équivaudrait à des transactions d’une valeur d’environ 3,5 milliards d’euros (4 milliards de dollars américains).
La déclaration de Boeing sur le calendrier est remarquable car elle met en œuvre la nouvelle, selon laquelle les dirigeants du gouvernement allemand rouvrent une série de tests dans la flotte post-Tornado optimale. Le plan est de quitter cet avion en 2030.
En fonction de qui est interrogé, les études sont soit un exercice habituel dans un nouveau gouvernement pour prendre ses repères sur des décisions importantes, soit le produit d’une série d’événements, ce qui justifie un examen plus approfondi des substituts, y compris le F-35 fabriqué par Lockheed Martin. .
Il se concentre également une fois de plus sur le besoin exclusif de l’Allemagne d’un chasseur-liaison capable d’armes nucléaires, qui poursuivrait les missions Tornado. Celles-ci impliquent de conserver une flotte d’avions, qui seraient chargés de bombes atomiques américaines pour se positionner dans un hypothétique conflit nucléaire.
Le lancement de Boeing impliquait la promesse d’un avion de guerre électronique compliqué, le Growler, couplé à un cheval de bataille à capacité nucléaire, le Block 3 Super Hornet, qui ne ferait pas sauter la banque.
Cependant, un hoquet sans rapport avec le futur système aérien de combat franco-allemand-espagnol peut ouvrir le terrain de jeu de nouvelles manières, selon des responsables de l’industrie à Berlin. Dassault, constructeur aéronautique, chef de file national de la France pour le programme chapiteau a jusqu’à présent refusé de partager l’accès aux informations avioniques importantes pour l’avion SCAF ultime, surnommé le système d’arme de nouvelle génération.
L’Allemagne a abandonné cette technologie de boîte noire ; avec des agents qui se disputent l’accès à l’ensemble de la technologie est important pour les futurs travaux de maintenance et de développement.
Même si quelques responsables ont déclaré que la disparition du FCAS, ou son éclatement en tentatives auxiliaires avec une meilleure assurance utile, pourrait ouvrir la voie au F-35 – du moins dans le rôle de bombardement nucléaire, d’autres ont contesté un tout nouveau 5e La flotte de chasseurs de génération serait également brillante pour une mission intensément mal aimée par Berlin.
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