Dans les années 60, quand il n'était pas encore question de stériliser les chats, ma mère prenait soin de ses animaux (lapin, chats, ma mère avait un lapin domestique quand j'étais bébé, elle le mettait dans mon parc quand j'avais 8 mois) et veillait à leur confort.
Quand une de nos deux chattes était sur le point d'avoir des petits, ma mère posait un carton ou un cageot sous la table de la cuisine. Elle le garnissait de chiffons propres. La chatte y mettait au monde ses chatons tranquillement et en toute sécurité. Puis ma mère s'occupait de se débarrasser des petits... je ne vous raconterai pas comment... Nous ne pouvions pas les garder.
A partir des années 70, ma mère demandait au vétérinaire de stériliser les chats qui se sont succédés chez nous (à peu près un quinzaine) et ainsi elle était plus tranquille.
(en photo, Emilie en 1983, près du tricot de ma maman).
Dans les années 60, quand il n'était pas encore question de stériliser les chats, ma mère prenait soin de ses animaux (lapin, chats, ma mère avait un lapin domestique quand j'étais bébé, elle le mettait dans mon parc quand j'avais 8 mois) et veillait à leur confort.
Quand une de nos deux chattes était sur le point d'avoir des petits, ma mère posait un carton ou un cageot sous la table de la cuisine. Elle le garnissait de chiffons propres. La chatte y mettait au monde ses chatons tranquillement et en toute sécurité. Puis ma mère s'occupait de se débarrasser des petits... je ne vous raconterai pas comment... Nous ne pouvions pas les garder.
A partir des années 70, ma mère demandait au vétérinaire de stériliser les chats qui se sont succédés chez nous (à peu près un quinzaine) et ainsi elle était plus tranquille.
(en photo, Emilie en 1983, près du tricot de ma maman).