Magazine Société

Morale et liberté

Publié le 22 janvier 2022 par Christophefaurie

On dit qu’il faut couler les exécrables choses 

Dans le puits de l’oubli et au sépulchre encloses, 

Et que par les escrits le mal ressuscité 

Infectera les mœurs de la postérité ; 

Mais le vice n’a point pour mère la science, 

Et la vertu n’est pas fille de l’ignorance. 

(Théodore Agrippa d’Aubigné.) 

Voilà par quoi commence Les fleurs du mal, de Baudelaire. 

Agrippa d'Aubigné, protestant, au temps des guerres de religion. Baudelaire (et Flaubert), au XIXème siècle. Notre société, maintenant ? 


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Christophefaurie 1652 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine