Carlos Tavaresn'en démord pas. Pour le patron de Stellantis, groupe automobile formé il y a un an par la fusion entre PSAet Chrysler Fiat, les pouvoirs publics se sont engouffrés dans le " tout électrique " et ils nous l'imposent maintenant à marche forcée sans que la question ait reçu une attention scientifique, industrielle et sociale suffisante. Il le disait déjà en 2017, il l'a répété en décembre dernier et il vient de le confirmer sans langue de bois dans un long entretien accordé cette semaine à quatre médias européens dont Les Échos: