Ce système n’a d’assurance que le nom, puisque dans un véritable système d’assurance les primes dépendraient du risque assuré et non des revenus, et que des compagnies d’assurance privées veilleraient à contrôler les gaspillages et les fraudes, qui affecteraient leurs résultats.
Ce contrôle n’est pas la préoccupation principale des employés des caisses publiques.
Appliqué intégralement, le système français de Sécurité Sociale aboutirait, comme le système économique communiste, à des catastrophes : les biens gratuits seraient gaspillés, l’offre ne suivrait pas la demande et des queues se formeraient ; un système parallèle de meilleure qualité et sans queues serait réservé à la « nomenklatura ».