Dès le début de son mandat Macron a été suspecté par plusieurs psychiatres de "psychopathie" caractérisée. J'en ai parlé souvent ici.
Dans cette vidéo très courte, il a failli, à propos de lui-même, prononcer ce terme, mais l'a remplacé au dernier moment par "un être particulièrement complexe, voire pervers".
Nul besoin d'être psychiatre pour comprendre que "psychopathe" ou "être particulièrement complexe, voire pervers", cet homme n'est pas net du tout.
Sans parler de sa gérontophilie assumée. Ni du plaisir évident qu'il éprouve de se moquer, voire d'insulter, les Français qui l'ont élu.
Que les milliardaires et les nantis du CAC 40 continuent de lui faire confiance après tous les cadeaux qu'il n'a cessés de leur prodiguer pendant cinq ans, cela n'étonnera personne.
Mais, que tous les autres ne se posent toujours pas des questions à propos de ce personnage que l'on connait bien désormais, tendrait à démontrer que les Français, eux aussi, souffrent d'un autre problème médical : le masochisme. Dont je rappelle la définition : comportement d'une personne qui trouve du plaisir à souffrir, qui recherche la douleur et l'humiliation.
Les élections présidentielles approchent. Cinq ans auparavant la plupart des Français ne
connaissait pas Macron. Ce n'est certes plus le cas aujourd'hui.
Si, nonobstant, Macron est réélu, la majeure partie des Français auront perdu le droit de se plaindre.
Pendant cinq ans !
Souvenons-nous que les soutiens indéfectibles de Macron ne représentent, en nombre de bulletins, qu'une partie infime de la population.
En revanche, côté médiatique, la quasi-totalité des médias importants Français est possédée par les milliardaires français.
Cinq ans auparavant les médias ont pu fabriquer une image flatteuse de Macron. Et, cela a marché puisqu'un inconnu, sans parti politique installé, a pu être élu à la présidence de la république.
Mais, maintenant, tout le monde sait à qui l'on a affaire avec ce candidat sortant.
Donc, cette fois ce ne sera pas le résultat d'un concours de circonstances, ce sont les Français qui par leurs bulletins de votes ou leur abstention, vont élire un président.
La vidéo
L'analyse du professeur Segatori, le premier à avoir détecté cette maladie chez Macron