Ces derniers jours, nous avons reçu beaucoup de neige et à cette période de l'année, elle est beaucoup plus dense que ce que nous appelons d'habitude la « plus neige la plus légère du monde », donc quand c’est profond et lourd, cela demande suffisamment de puissance musculaire pour que tout fonctionne pour le mieux.
Ainsi, lorsqu'on a plus de soixante-dix ans, les skis ne font pas toujours ce qu'on leur ordonne ou ce qu'ils sont censés faire.C'est vrai, la neige profonde de printemps change la donne et quelles que soient les techniques, les compétences et l'âge, cela n’est pas sans conséquences.
Ce qui est le plus vexant, cependant, c'est que cela va à l’encontre de ma philosophie de ski qui consiste à « Être léger comme une plume » et je découvre rapidement qu'il manque manifestement un « indice de puissance » à cette équation.
Bon, il va falloir produire l'effort qu’il le faut, puisqu'on est presque en fin de saison de ski !