Emmanuel Macron a-t-il échoué dans la mission qui lui a été confiée ? Tout dépend si l'on se place du côté du peuple ou du côté des élites mondialisées qui l'ont mis en place.
"-Qu'est ce qu'ils sont cons !" "-Je te l'avais dit qu'ils n'y verraient que du feu!"" Car depuis 2012, lorsqu'il est arrivé à l'Élysée comme conseiller spécial du président Hollande, Emmanuel Macron n'aura eu de cesse de servir les intérêts des "gnomes de Davos", comme les appelle Roland Hureaux. Dans son dernier ouvrage "L'homme qui n'aimait pas la France", cet ancien élève de l'École Normale Supérieure et de l'ENA souhaite rappeler aux Français tout le mal qu'Emmanuel Macron a fait à leur pays : dépossession industrielle, explosion de la dette publique, ouverture à l'immigration, déliquescence de l'ordre public, effacement diplomatique, matraquage fiscal des classes moyennes, recul considérable des libertés fondamentales... Ce n'est pas de la maladresse, mais une attitude parfaitement posée exprès. Pourquoi ?
N.D.L.R
C'est un ancien élève de l'ENA et de Normale Sup qui nous parle, pas un complotiste décérébré.
Je rappelle que Macron, lui, n'a jamais pu réussir le concours d'entrée à Normale Sup.
Par ailleurs, il est bon de rappeler que nous subissons Macron, non pas depuis cinq ans, mais depuis 2012, date à laquelle Macron est apparu à l'Élysée en tant que conseiller spécial de Hollande.
Roland Hureaux nous confirme que toute la politique de Hollande, favorable à la finance mondiale, et donc l'antithèse de ce qu'il nous avait promis a été très fortement inspirée par Macron.
« Mon adversaire, c'est le monde de la finance ! » qu'il avait dit Flamby. Et, sur ces fortes paroles, cet ancien patron des socialistes français, à peine élu, embaucha Macron, qui sortait tout droit de chez Rothschild ! Comme on peut reprocher beaucoup de choses à l'ex président, sauf d'être idiot, je commence à me poser des questions sur sa probité affichée.
En conséquence, cela fait dix ans et non pas cinq que nous subissons Macron, cette marionnette des "gnomes de Zurich".
S'il est réélu, cela fera quinze ans !
Vous pouvez être assuré qu'à l'issue de ces quinze années la France ne sera plus du tout ce qu'elle était. Et, pas dans le bon sens.
C'est déjà le cas, mais, à mon avis, on n'a encore rien vu.